DĂ©marches administratives

Comment faire si...

Un proche est décédé

Vérifié le 20 septembre 2023 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Vous venez de perdre un proche. Cet événement impose d’engager certaines démarches comme organiser les obsèques et informer plusieurs organismes.

Dans cette période difficile, nous vous accompagnons pour effectuer l’ensemble de ces démarches. Nous vous indiquons qui peut les faire et dans quels délais.

Nous vous posons plusieurs questions. Les réponses que vous apportez permettent d'identifier votre situation et celle de la personne décédée. Ces questions sont facultatives. Vous pouvez accéder aux informations sans y répondre.

Attention : certaines spécificités concernant le décès d'un mineur ou d'un travailleur indépendant ne sont pas traitées dans cette fiche.

    • Ă€ l'hĂ´pital, un mĂ©decin doit constater le dĂ©cès et Ă©tablir un certificat de dĂ©cès.

      Ce document permet d’officialiser le décès d’une personne. Le certificat de décès est obligatoire pour déclarer le décès à la mairie et organiser les obsèques.

      C'est l'hôpital lui-même qui se charge ensuite de la déclaration de décès auprès de la mairie du lieu du décès. La déclaration du décès doit être faite dans un délai de 24 heures.

      À la suite de la déclaration de décès, la mairie établit un acte de décès.

      Après que le décès a été constaté, la famille de la personne décédée doit faire transférer le corps :

      • soit dans la chambre mortuaire de l’hĂ´pital (s'il y en a une),
      • soit dans la la chambre funĂ©raire d’une entreprise funĂ©raire,
      • soit au domicile de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e ou au domicile d’un des membres de la famille.

      Savoir ce qui se passe si le médecin décèle que la mort est suspecte

      L'hĂ´pital alerte le procureur de la RĂ©publique.

      Le corps est confié à l'Institut médico-légal. Une autopsie est le plus souvent effectuée.

      Pendant le temps de l'enquĂŞte, le corps n'est pas Ă  la disposition de la famille.

      Tant que le corps n'est pas restitué, les obsèques ne peuvent pas avoir lieu.

    • Ă€ l'Ehpad, un mĂ©decin doit constater le dĂ©cès et Ă©tablir un certificat de dĂ©cès.

      Ce document permet d’officialiser le décès d’une personne. Le certificat de décès est obligatoire pour déclarer le décès à la mairie et organiser les obsèques.

      C'est l'Ehpad lui-même qui se charge ensuite de la déclaration de décès auprès de la mairie du lieu du décès. La déclaration du décès doit être faite dans un délai de 24 heures.

      À la suite de la déclaration de décès, la mairie établit un acte de décès.

      Après que le décès a été constaté, la famille de la personne décédée peut faire transférer le corps :

      • soit dans la chambre mortuaire d'un hĂ´pital,
      • soit dans la la chambre funĂ©raire d’une entreprise funĂ©raire,
      • soit au domicile de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e ou au domicile d’un des membres de la famille.

      Savoir ce qui se passe si le médecin décèle que la mort est suspecte

      L'Ephad alerte le procureur de la RĂ©publique.

      Le corps est confié à l'Institut médico-légal. Une autopsie est le plus souvent effectuée.

      Pendant le temps de l'enquĂŞte, le corps n'est pas Ă  la disposition de la famille.

      Tant que le corps n'est pas restitué, les obsèques ne peuvent pas avoir lieu.

    • Vous devez appeler un mĂ©decin. Il peut s'agir du mĂ©decin traitant de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e ou d'un autre mĂ©decin (mĂŞme Ă  la retraite) ou de SOS MĂ©decins.

      Le médecin vient sur place pour constater le décès.

      Il établit un certificat de décès. Ce document permet d’officialiser le décès d’une personne. Le certificat de décès est obligatoire pour déclarer le décès à la mairie et organiser les obsèques.

      Savoir ce qu'il se passe quand s'il s'agit d'une mort violente (par exemple, décès accidentel ou suicide)

      Vous devez alerter la police ou la gendarmerie (et ne pas appeler un médecin).

      La police ou la gendarmerie ouvre une enquête pour déterminer les circonstances du décès. Les résultats de l'enquête seront transmis au procureur de la République.

      Le corps est confié à l'Institut médico-légal. Une autopsie est le plus souvent effectuée.

      Pendant le temps de l'enquête, le corps n'est pas à la disposition de la famille. Tant que le corps n'est pas restitué, les obsèques ne peuvent pas avoir lieu.

      La police ou la gendarmerie pose des scellés au domicile de la personne décédée. Pendant le temps de l'enquête, la famille ne peut pas accéder au logement.

      Le certificat de décès est délivré par le commissariat de police ou la gendarmerie.

      Les obsèques ne pourront avoir lieu qu'après qu'un officier de police judiciaire vous ait remis sur ordre du procureur de la République une autorisation judiciaire, appelée procès-verbal aux fins d'inhumation.

    • Il faut appeler la police ou la gendarmerie.

      • S’il n’y a pas de doute qu'il s'agit d'une mort naturelle : le maire demande le transfert du corps vers une chambre funĂ©raire. Le constat de dĂ©cès est rempli et signĂ© par le mĂ©decin qui a constatĂ© le dĂ©cès.
      • En cas de mort suspecte : la police ou la gendarmerie en gĂ©nĂ©ral fait transporter le corps Ă  l'Institut mĂ©dico-lĂ©gal pour que des examens soient effectuĂ©s.
  • Attention : notre fiche prĂ©sente uniquement le cas d'un dĂ©cès d'une personne qui faisait un court sĂ©jour Ă  l'Ă©tranger.

    1. Si une assurance voyage a été souscrite, vous devez contacter l'établissement concerné (organisme d'assistance ou compagnie d'assurance).

    2. Vous devez déclarer le décès à l'officier d'état civil local. Dans de rares cas, il est possible de déclarer le décès directement à l'ambassade ou au consulat de France. Renseignez-vous auprès de l'autorité consulaire.

    Un acte de décès local est établi.

    Pour les démarches liées aux funérailles ou au rapatriement du corps du défunt, vous pouvez demander l'assistance de l'ambassade ou du consulat de France. L'ambassade ou le consulat de France peut vous apporter les aides suivantes :

    • Information sur le coĂ»t d'une inhumation ou d'une incinĂ©ration locale, ou d'un rapatriement en France
    • Indication des coordonnĂ©es de sociĂ©tĂ©s de pompes funèbres locales ou françaises intervenant Ă  l'Ă©tranger
    • Assistance auprès des pompes funèbres locales en cas de problème de langue

    L'ambassade ou du consulat de France délivre aussi l'autorisation de transport de corps ou de cendres, en cas de rapatriement.

    3. Même si ce n'est pas obligatoire, il est recommandé de demander la transcription de l'acte de décès en France.

    La mention du décès sera alors ajoutée sur l'acte de naissance français du défunt.

    La transcription est recommandée pour faciliter certaines démarches en France (succession, pension de retraite, réversion, etc.).

    • Si le dĂ©cès a au lieu en AlgĂ©rie, au Liechtenstein, au Luxembourg, au Maroc, Ă  Monaco, en Pologne, en Suisse ou en Tunisie, vous devez faire la demande de transcription au Service central d'Ă©tat civil. Dès que la transcription sera effectuĂ©e, vous pourrez obtenir des copies de l'acte de dĂ©cès.
    • Si le dĂ©cès a lieu dans un autre pays, vous devez vous adresser Ă  l'ambassade ou au consulat de France. Dès que la transcription sera effectuĂ©e, l'ambassade ou du consulat de France fournira des copies de l'acte de dĂ©cès.

    Où s’adresser ?

    État civil (naissance, un mariage ou un décès) d'un Français à l'étranger

    Uniquement par courrier à l'adresse suivante :

    Service central d'Ă©tat civil

    11, rue de la Maison Blanche

    44941 Nantes Cedex 09

    Le service n'accueille pas de public.

    Vous pouvez faire une demande d'acte d'état civil via un téléservice.

    Pour toute information complémentaire, vous pouvez :

    • Consulter le site diplomatie.gouv.fr
    • TĂ©lĂ©phoner au+33 1 41 86 42 47 du lundi au vendredi de 9h Ă  12h et de 13h Ă  16h
    • Envoyer un mail Ă  courrier.scec@diplomatie.gouv.fr

    4. Il est recommandé de transmettre le plus tôt possible une copie de l'acte de décès aux organismes sociaux en France (Caf ou MSA, CPAM, Pôle emploi, caisses de retraite,...).

    Savoir quoi faire si la personne décédée voyageait seule

    Si vous apprenez le décès par une agence de voyages, les médias ou un autre moyen, contactez le centre de crise du ministère de l'Europe et des affaires étrangères.

Pensez à prévenir les membres de la famille, les amis, les voisins.

Si la personne est décédée subitement, pensez à vous occuper de ses animaux de compagnie. Il est également recommandé de vérifier l'état général du domicile et ses différents équipements.

Si la personne est décédée subitement, pensez à vous occuper de ses animaux de compagnie. Il est également recommandé de vérifier l'état général du domicile et ses différents équipements.

  • Si un contrat obsèques avec une entreprise de pompes funèbres a Ă©tĂ© signĂ© avant le dĂ©cès, vous devez contacter l'entreprise le plus rapidement possible après le dĂ©cès.

    Vous devez lui confier le certificat de décès s'il vous a été remis par le médecin ayant constaté le décès.

    Vous devez également lui remettre le livret de famille de la personne décédée.

    L'entreprise fera alors la déclaration du décès auprès de la mairie de la commune où il a eu lieu.

    Ensuite, il y a plusieurs possibilités (en fonction de ce qui a été convenu dans le contrat obsèques) :

    • Le corps reste Ă  domicile jusqu'aux obsèques
    • Il est transportĂ© dans une chambre mortuaire
    • Il est transportĂ© Ă  la rĂ©sidence d'un membre de sa famille dans l'attente des obsèques

      Ă€ savoir

    Après la déclaration du décès à la mairie, l'entreprise vous remettra plusieurs exemplaires de l'acte de décès qui sera établi par la mairie, mais en général uniquement lors des obsèques.

    Si vous êtes pacsé, le Pacs est déclaré dissout après la déclaration du décès à la mairie (sans formalité à accomplir par le partenaire). Le décès sera inscrit sur l'acte de naissance du partenaire.

  • Le dĂ©cès doit ĂŞtre dĂ©clarĂ© Ă  la mairie de la commune oĂą il a eu lieu.

    Toute personne majeure peut déclarer le décès, de préférence un proche. Par exemple : un parent ou un proche possédant des renseignements sur l'état civil de la personne décédée.

    Pour déclarer le décès, la personne doit se rendre à la mairie de la commune où le décès s'est produit. Elle doit présenter les documents suivants :

    • Sa pièce d'identitĂ©
    • Si possible, le certificat de dĂ©cès
    • Tout document concernant l'identitĂ© de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e (livret de famille, pièce d'identitĂ© ou acte de naissance par exemple)

    La déclaration en mairie est gratuite et immédiate, sans rendez-vous.

    Où s’adresser ?

    À la suite de la déclaration de décès, la mairie établit un acte de décès. Il faut demander des copies de l'acte de décès.

      Ă€ savoir

    Si vous signez un contrat avec une entreprise de pompes funèbres rapidement après le décès, l'entreprise peut faire la déclaration du décès à la mairie en votre nom.

    Si vous êtes pacsé, le Pacs est déclaré dissout après la déclaration du décès à la mairie (sans formalité à accomplir par le partenaire). Le décès sera inscrit sur l'acte de naissance du partenaire.

Vous devez contacter l'employeur ou les employeurs de la personne décédée.

Si vous n'avez pas les coordonnées nécessaires, vous pouvez consulter un bulletin de salaire récent de la personne décédée.

  • Tout salariĂ© peut obtenir un congĂ© en cas de dĂ©cès d'un membre de sa famille, sans condition d'anciennetĂ©.

    Vous devez prendre le congé dans la période où l'événement se produit, mais pas nécessairement le jour même.

    Vous devez remettre un justificatif (certificat de décès) à votre employeur.

    Si votre époux ou votre épouse est décédé(e), la durée du congé est de 3 jours. Attention : une durée plus élevée peut être prévue dans la convention collective de votre entreprise ou si un accord collectif d'entreprise a été signé. Renseignez-vous auprès de votre employeur.

    Si votre partenaire de Pacs est décédé(e), la durée du congé est de 3 jours. Attention : une durée plus élevée peut être prévue dans la convention collective de votre entreprise ou si un accord collectif d'entreprise a été signé. Renseignez-vous auprès de votre employeur.

    Si la personne avec laquelle vous étiez en concubinage est décédée, la durée du congé est de 3 jours. Attention : une durée plus élevée peut être prévue dans la convention collective de votre entreprise ou si un accord collectif d'entreprise a été signé. Renseignez-vous auprès de votre employeur.

    Si votre père ou votre mère est décédé(e), la durée du congé est de 3 jours. Attention : une durée plus élevée peut être prévue dans la convention collective de votre entreprise ou si un accord collectif d'entreprise a été signé. Renseignez-vous auprès de votre employeur.

    En cas de décès de votre enfant, vous avez droit à un congé de 12 jours ouvrables ou d'une durée plus élevée si elle est prévue par convention ou accord collectif d'entreprise.

    Mais vous avez droit à un congé de 14 jours ouvrables en cas de décès d'une des personnes suivantes :

    • Enfant âgĂ© de moins de 25 ans
    • Enfant, quel que soit son âge, s'il Ă©tait lui-mĂŞme parent
    • Personne de moins de 25 ans Ă  votre charge effective et permanente

    En cas de décès d'un enfant âgé de moins de 25 ans, vous avez également droit a un congé supplémentaire, dit congé de deuil d'une durée de 8 jours (en plus du congé de 14 jours ouvrables).

    Le congé de deuil s'applique également en cas de décès d'une personne de moins de 25 ans à votre charge effective et permanente.

    Le congé de deuil peut être pris de façon fractionnée, c'est-à-dire sur plusieurs périodes.

    Le congé peut être pris sur 2 périodes au maximum si vous êtes salarié.

    Le congé peut être pris sur 3 périodes au maximum si vous êtes demandeur d'emploi, travailleur indépendant ou non-salarié agricole.

    Chaque période du congé doit être d'une durée d'au moins 1 jour.

    Vous devez prendre le congé de deuil dans un délai d'un an à compter du décès de l'enfant.

  • Dans certains cas, vous pouvez obtenir une autorisation spĂ©ciale d'absence lors du dĂ©cès d'un proche. Renseignez-vous auprès de votre direction des ressources humaines pour savoir quelles sont les règles applicables dans votre administration employeur.

    Dans certains cas, vous pouvez obtenir une autorisation spéciale d'absence lors du décès d'un proche. Renseignez-vous auprès de votre direction des ressources humaines pour savoir quelles sont les règles applicables dans votre administration employeur.

    Dans certains cas, vous pouvez obtenir une autorisation spéciale d'absence lors du décès d'un proche. Renseignez-vous auprès de votre direction des ressources humaines pour savoir quelles sont les règles applicables dans votre administration employeur.

    Dans certains cas, vous pouvez obtenir une autorisation spéciale d'absence lors du décès d'un proche. Renseignez-vous auprès de votre direction des ressources humaines pour savoir quelles sont les règles applicables dans votre administration employeur.

    Vous bénéficiez d'une autorisation spéciale d'absence lors du décès d'un enfant. La durée de l'autorisation d'absence varie selon que l'enfant décédé avait plus ou moins de 25 ans :

    • S'il avait moins de 25 ans, la durĂ©e est de 12 jours ouvrables. Vous pouvez aussi bĂ©nĂ©ficier d'une autorisation spĂ©ciale d'absence complĂ©mentaire de 8 jours, qui peut ĂŞtre fractionnĂ©e et prise dans un dĂ©lai d'1 an Ă  partir du dĂ©cès. Ces autorisations d'absence sont accordĂ©es lors du dĂ©cès d'un enfant dont vous ĂŞtes parent et lors du dĂ©cès d'un enfant ou adulte de moins de 25 ans dont vous aviez la charge effective et permanente.
    • S'il avait au moins 25 ans, la durĂ©e est de 14 jours ouvrables. Vous pouvez aussi bĂ©nĂ©ficier d'une autorisation spĂ©ciale d'absence complĂ©mentaire de 8 jours, qui peut ĂŞtre fractionnĂ©e et prise dans un dĂ©lai d'1 an Ă  partir du dĂ©cès.

Vous devez vérifier si la personne décédée a indiqué ses dernières volontés (par oral, par testament ou dans un contrat obsèques) concernant

  • ses obsèques (enterrement ou crĂ©mation) ou le don de son corps Ă  la science
  • et le prĂ©lèvement d'organes.

Les proches doivent respecter les volontés de la personne décédée.

Si la personne décédée n'a pas indiqué ses volontés, la décision sur les obsèques appartient à ses proches.

En savoir plus sur la manière de connaître les dernières volontés de la personne

Les dernières volontés peuvent avoir été présentées à l’oral par la personne décédée.

Elles peuvent également avoir été écrites dans un testament :

Les dernières volontés peuvent également figurer dans un contrat obsèques conclu de son vivant par la personne décédée.

Des informations peuvent également avoir rédigées par la personne décédée dans le cadre des directives anticipées.

Quand la personne décédée a indiqué ses volontés, ses proches doivent les respecter.

Savoir quoi faire si aucune solution qui convienne à tous les proches n’a pu être trouvée 

Vous devez saisir le tribunal judiciaire du lieu du décès par assignation ou par requête conjointe au greffe.

Vous pouvez passer par une requĂŞte conjointe si vous ĂŞtes d'accord pour saisir ensemble le tribunal et lui demander de trancher votre litige.

Le recours Ă  un avocat n'est pas obligatoire.

Le tribunal décide dans les 24 heures.

Où s’adresser ?

 Attention :

si le décès est survenu à l’étranger, vous devez saisir le tribunal du lieu du dernier domicile du défunt en France.

Vous pouvez faire appel de la décision du tribunal dans les 24 heures, auprès du premier président de la cour d'appel. Celui-ci décide immédiatement. Le recours à un avocat est facultatif.

Où s’adresser ?

Savoir comment faire si la personne décédée a choisi le don de son corps à la science

Si la personne décédée a choisi le don de son corps à la science, une carte de donneur lui a été est remise par l'établissement d’accueil de don du corps.

En principe, lorsqu'il délivre une carte de donneur, l'établissement s'engage à accueillir le corps après le décès du donneur.

Cependant, le corps peut être refusé dans les cas suivants :

  • Absence de la carte de donneur
  • Non-respect du dĂ©lai de 48 heures maximum pour transporter le corps
  • DĂ©cès Ă  l'Ă©tranger obligeant Ă  une mise en bière
  • DĂ©cès Ă  la suite d'une maladie contagieuse obligeant Ă  une mise en bière
  • DĂ©cès Ă  la suite d'un accident de la route, d'un suicide ou de toute autre raison pouvant poser un problème mĂ©dico-lĂ©gal
  • Mauvaise conservation du corps

Le donneur a pu désigner une personne référente (famille ou proche) pour être l'interlocuteur avec l'établissement. Cet interlocuteur pourra alors se voir restituer le corps ou les cendres.

  • La procĂ©dure diffère selon qu'un enterrement ou une crĂ©mation aura lieu.

    • L'enterrement (appelĂ© inhumation) doit avoir lieu 24 heures au moins et 6 jours ouvrables au plus après le dĂ©cès. Lorsque des circonstances particulières le justifient, le prĂ©fet du dĂ©partement du lieu de l'inhumation peut accorder des dĂ©rogations Ă  ces dĂ©lais.

      Entre la déclaration de décès et l'inhumation, il y a plusieurs formalités :

      • DĂ©claration prĂ©alable au transport du corps si nĂ©cessaire
      • Autorisation de fermeture du cercueil
      • Fermeture dĂ©finitive du cercueil
      • Autorisation d'inhumer

      L'entreprise de pompes funèbres prend en charge ces formalités, en totalité ou en partie.

      La personne décédée peut être inhumée dans les cimetières suivants :

      • Celui de la commune oĂą la personne dĂ©cĂ©dĂ©e habitait
      • Celui de la commune oĂą il est dĂ©cĂ©dĂ©
      • Celui oĂą est situĂ© le caveau de famille

      L'inhumation est aussi possible dans une autre commune, mais le maire peut la refuser.

      Savoir si l'inhumation est possible dans une propriété privée

      C'est un cas exceptionnel. L'autorisation du préfet du département où se situe cette propriété est obligatoire. Elle est soumise à conditions. En pratique, l'entreprise de pompes funèbres s'occupe de la démarche.

    • La crĂ©mation doit avoir lieu au minimum 24 heures et au maximum 6 jours ouvrables. Les dimanches et jours fĂ©riĂ©s ne sont pas compris dans le calcul des dĂ©lais. Lorsque des circonstances particulières le justifient, le prĂ©fet du dĂ©partement du lieu du dĂ©cès ou de la crĂ©mation peut accorder des dĂ©rogations Ă  ces dĂ©lais.

      En général, après la déclaration de décès, des formalités sont à effectuer jusqu'aux obsèques. L'entreprise de pompes funèbres les prend en charge, en totalité ou en partie.

      Après la crémation, les cendres sont recueillies dans une urne munie d'une plaque indiquant l'identité de la personne décédée et le nom du crématorium.

      L'urne peut être gardée pendant 1 an maximum dans l'un des lieux suivants :

      • CrĂ©matorium
      • Lieu de culte (après accord de l'association chargĂ©e de l'exercice du culte)

      Durant ce délai, les proches doivent décider du devenir des cendres, sauf si la personne décédée avait indiqué sa volonté.

      Ils peuvent opter pour l'une des solutions suivantes :

      • Cimetière ou site cinĂ©raire
      • Dispersion en pleine nature
      • Inhumation de l'urne dans une propriĂ©tĂ© privĂ©e (mais l'autorisation du prĂ©fet est nĂ©cessaire)

      L'urne peut également être inhumée gratuitement dans le terrain communal du cimetière.

  • Vous devez choisir une entreprise de pompes funèbres.

    La liste des entreprises locales de pompes funèbres habilitées dans le département est disponible :

    • dans les Ă©tablissements de santĂ© et dans les mairies,
    • dans les chambres mortuaires et funĂ©raires vers lesquelles peuvent ĂŞtre transfĂ©rĂ©s les dĂ©funts.

    Il est recommandé

    • de consulter la documentation gĂ©nĂ©rale listant les tarifs et les prestations (prĂ©cisant si elles sont obligatoires ou facultatives), qui est obligatoirement mise Ă  disposition du public,
    • de demander un devis Ă  au moins 3 entreprises de pompes funèbres.

    L'entreprise doit obligatoirement vous remettre un devis.

    Le devis est gratuit. Il doit être détaillé et chiffré. Il doit présenter les prestations prises en charge et les honoraires de l'entreprise. Le devis doit être conforme à un modèle officiel.

    Il doit faire apparaître les produits et les prestations sous 8 rubriques et 3 colonnes. Les prestations qui sont courantes, celles qui sont optionnelles et celles effectuées pour le compte de tiers doivent figurer respectivement dans 3 colonnes distinctes.

    Quand vous acceptez le devis, l'entreprise doit vous remettre un bon de commande. La facture vous sera remise lors du paiement.

    Ensuite, les formalités diffèrent selon qu'un enterrement ou une crémation a lieu.

    • L'enterrement (appelĂ© inhumation) doit avoir lieu 24 heures au moins et 6 jours ouvrables au plus après le dĂ©cès. Lorsque des circonstances particulières le justifient, le prĂ©fet du dĂ©partement du lieu de l'inhumation peut accorder des dĂ©rogations Ă  ces dĂ©lais.

      • Entre la dĂ©claration de dĂ©cès et l'inhumation, il y a plusieurs formalitĂ©s (par exemple, l'autorisation d'inhumer).

        En général, l'entreprise de pompes funèbres prend en charge ces formalités.

      • Une concession funĂ©raire est un emplacement dans un cimetière (caveau ou tombe). Ce peut ĂŞtre aussi un emplacement rĂ©servĂ© aux urnes funĂ©raires dans un columbarium.

        Vous devez faire votre demande d'acquisition auprès de la mairie dont dépend le cimetière.

        La durée varie selon les types de concession suivants :

        • Temporaire : entre 5 ans et 15 ans
        • Trentenaire : 30 ans
        • Cinquantenaire : 50 ans
        • PerpĂ©tuelle : durĂ©e illimitĂ©e

        Mais les communes ne proposent pas toujours de chaque type de concession.

        Le prix d'une concession est fixé par le conseil municipal. Il varie d'une commune à l'autre. Le prix peut aussi varier en fonction de l'emplacement de la concession.

         Attention :

        Pour avoir le droit d'être inhumé dans une commune, la personne décédée doit être dans l'une des situations suivantes :

        • ĂŠtre dĂ©cĂ©dĂ© dans la commune, quel que soit le domicile de la personne
        • ĂŠtre domiciliĂ© dans la commune
        • ĂŠtre inscrit ou remplir les conditions pour ĂŞtre inscrit sur les listes Ă©lectorales de la commune si on habite Ă  l'Ă©tranger
        • BĂ©nĂ©ficier d'une concession familiale
      • Si la personne dĂ©cĂ©dĂ©e ou la famille n'a pas de concession, il est possible de demander Ă  la mairie que la personne dĂ©cĂ©dĂ©e soit inhumĂ©e en terrain communal, dans un emplacement individuel. Cet emplacement est fourni gratuitement pour 5 ans.

        Savoir si l'inhumation est possible dans une propriété privée

        C'est un cas exceptionnel. L'autorisation du préfet du département où se situe cette propriété est obligatoire. Elle est soumise à conditions. En pratique, l'entreprise de pompes funèbres s'occupe de la démarche.

    • La crĂ©mation doit avoir lieu au minimum 24 heures et au maximum 6 jours ouvrables. Les dimanches et jours fĂ©riĂ©s ne sont pas compris dans le calcul des dĂ©lais. Lorsque des circonstances particulières le justifient, le prĂ©fet du dĂ©partement du lieu du dĂ©cès ou de la crĂ©mation peut accorder des dĂ©rogations Ă  ces dĂ©lais.

      Entre la déclaration de décès et la crémation, il y a plusieurs formalités (par exemple, l'autorisation de crémation).

      En général, l'entreprise de pompes funèbres prend en charge ces formalités.

      Après la crémation, les cendres sont recueillies dans une urne munie d'une plaque indiquant l'identité de la personne décédée et le nom du crématorium.

      L'urne peut être gardée pendant 1 an maximum dans l'un des lieux suivants :

      • CrĂ©matorium
      • Lieu de culte (après accord de l'association chargĂ©e de l'exercice du culte)

      Durant ce délai, les proches doivent décider du devenir des cendres, sauf si la personne décédée avait indiqué sa volonté.

      Ils peuvent opter pour l'une des solutions suivantes :

      • Cimetière ou site cinĂ©raire
      • Dispersion en pleine nature
      • Inhumation de l'urne dans une propriĂ©tĂ© privĂ©e

À la suite du décès, vous devez contacter les différents établissements bancaires (banque, Banque Postale, caisse d'épargne...) dans lesquels la personne décédée avait ouvert un compte.

Tout héritier, un proche ou le notaire (en charge de la succession) peut informer les établissements du décès.

Pour connaître la liste des comptes et des coffres détenus en France par la personne décédée, vous pouvez consulter gratuitement le fichier national des comptes bancaires et assimilés (Ficoba). Vous devez adresser votre demande par écrit au Centre national de traitement FBFV. Vous devez joindre à votre courrier les documents suivants :

  • Copie de l'acte de dĂ©cès
  • Justificatif de votre identitĂ©
  • Document prouvant que vous ĂŞtes hĂ©ritier (acte de notoriĂ©tĂ©).

Où s’adresser ?

Par courrier

BP 31

77421 Marne-La-Vallée Cedex 02

Après avoir informé par téléphone les établissements bancaires du décès, il est recommandé de leur adresser une lettre recommandée avec accusé de réception.

Un modèle de lettre est disponible :

Modèle de document
Informer la banque du décès d'un proche

Permet d'avertir la banque du décès d'un proche parent et de demander le blocage de son ou ses compte(s).

AccĂ©der au modèle de document  

Direction de l'information légale et administrative (Dila) - Première ministre

  Ă€ savoir

Les établissements bancaires facturent les opérations de clôture. Leur montant varie. Il est précisé dans la convention signée avec les établissements. Ces frais constituent une dette à la charge des héritiers, qui sera payée dans le cadre du règlement de la succession.

Le devenir des différents comptes varie selon leur nature :

  • Dès que la banque a connaissance du dĂ©cès, elle procède au blocage des diffĂ©rents comptes ouverts (compte courant, compte sur livret ou compte d'Ă©pargne) dont la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă©tait seule titulaire. Il peut s'agir notamment des comptes suivants :

    • Compte courant
    • Compte Ă  vue
    • Compte-titres
    • Livret A
    • Livret de dĂ©veloppement durable et solidaire (LDDS)
    • Livret d'Ă©pargne populaire (LEP)
    • Livret jeune
    • Compte pour le dĂ©veloppement industriel (Codevi)
    • Plan Ă©pargne logement (PEL)

    Le blocage va aussi concerner :

    • le portefeuille de titres financiers (action, obligation, PEA, etc.)
    • et le coffre.

     Ă€ noter

    Les procurations qui avaient été accordées sur ces différents comptes prennent fin au moment du décès.

    Malgré le blocage des comptes, ces opérations peuvent encore avoir lieu :

    • OpĂ©rations de virement Ă©manant de tiers (par exemple : pension de retraite lorsque l'organisme payeur n'a pas encore Ă©tĂ© informĂ© du dĂ©cès)
    • OpĂ©rations de prĂ©lèvement correspondant aux diffĂ©rentes dĂ©penses engagĂ©es (par carte bancaire, chèque ou virement, etc.) par le titulaire du compte avant son dĂ©cès. Ces prĂ©lèvements sont rĂ©alisĂ©s dans la limite des fonds disponibles sur les comptes au jour du dĂ©cès.

    Si un compte procure des intérêts, ils continuent à courir jusqu'au versement des fonds par la banque au moment de la liquidation de la succession.

    Les comptes pourront être débloqués pour le règlement de certaines dépenses intervenues après le décès.

    Elles pourront être réglées dans la limite des fonds disponibles sur les comptes au jour du décès et dans la limite de 5 000 €. Il s'agit des dépenses suivantes :

    Les héritiers (ascendants ou descendants) pourront obtenir le déblocage des fonds pour le paiement de ces dépenses. Pour cela, ils doivent remettre à l'établissement bancaire l'attestation signée par tous, par laquelle ils certifient les éléments suivants :

    • Absence de testament et absence d'autres hĂ©ritiers de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e
    • Absence de contrat de mariage
    • Autorisation faite au porteur du document Ă  percevoir pour leur compte les sommes figurant sur les comptes de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e
    • Absence de procès, de contestation en cours concernant le statut d'hĂ©ritier ou la composition de la succession
    • Extrait d'acte de naissance
    • Extrait d'acte de naissance de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e et copie intĂ©grale de son acte de dĂ©cès
    • Extrait d'acte de mariage de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e, le cas Ă©chĂ©ant
    • Extraits d'actes de naissance de chaque ayant droit dĂ©signĂ© dans l'attestation
    • Certificat d'absence d'inscription de dispositions de dernières volontĂ©s (ou certificat d'absence de testament).

     Ă€ noter

    Si les héritiers ont déjà reçu de la part du notaire l'acte de notoriété, ils sont dispensés de fournir les documents demandés. Seul leur accord unanime de paiement est exigé. L'attestation signée de tous pourra être réclamée par l'établissement bancaire.

    En ce qui concerne la demande de clôture définitive des comptes, il est conseillé de faire la demande après avoir eu connaissance des éléments permettant d'accepter ou de refuser la succession.

    Si le montant total des sommes détenues par l'établissement bancaire est inférieur à 5 000 €, la demande de clôture des comptes et le versement des sommes y figurant peuvent être faits par les héritiers (ascendants ou descendants). Ils doivent remettre à l'établissement bancaire l'attestation signée par tous, par laquelle ils certifient les informations suivantes :

    • Absence de testament et absence d'autres hĂ©ritiers de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e
    • Absence de contrat de mariage
    • Absence de bien immobilier dans la succession
    • Autorisation faite au porteur du document Ă  percevoir pour leur compte les sommes figurant sur les comptes de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e
    • Absence de procès, de contestation en cours concernant la statut d'hĂ©ritier ou la composition de la succession
    • Extrait d'acte de naissance
    • Extrait d'acte de naissance de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e et copie intĂ©grale de son acte de dĂ©cès
    • Extrait d'acte de mariage de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e, le cas Ă©chĂ©ant
    • Extraits d'actes de naissance de chaque ayant droit dĂ©signĂ© dans l'attestation
    • Certificat d'absence d'inscription de dispositions de dernières volontĂ©s (ou certificat d'absence de testament).

    Si le montant total des sommes détenues par l'établissement est supérieur à 5 000 €, le notaire adressera à la banque un acte de notoriété.

    Selon les directives de l'établissement bancaire, les héritiers devront restituer ou détruire tous les moyens de paiements (carte bancaire, chéquier) de la personne décédée en leur possession.

      Ă€ savoir

    Si pendant 3 ans les ayants droit de la personne décédée ne se sont pas manifestés, les comptes bancaires sont clôturés. Les fonds sont transférés à la Caisse des dépôts, qui les conserve pendant maximum 27 ans.

  • Les comptes joints ne sont pas bloquĂ©s du fait du dĂ©cès de l'un de ses cotitulaires. L'Ă©poux(se) ou le/la partenaire du Pacs ou le/la concubin(e) de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e peut effectuer toutes les opĂ©rations bancaires souhaitĂ©es (retrait, dĂ©pĂ´t, virement, etc.).

    Toutefois, les comptes joints suivent les règles de dévolution successorale. La moitié des sommes y figurant revient aux héritiers. Ainsi, pour protéger leurs intérêts et éviter que le cotitulaire ne vide le compte, il est prévu que les héritiers puissent demander la clôture du compte. Dans l'éventualité où le cotitulaire aurait fait un retrait supérieur à ce qu'il lui revient, les héritiers pourront exiger le remboursement.

    En l'absence d'héritier, le compte pourra devenir un compte bancaire individuel du cotitulaire survivant.

    En cas de solde positif au jour du décès, la part appartenant à la personne décédée est déterminée lors du règlement de la succession.

    En cas de solde négatif, la banque peut demander au(x) titulaire(s) survivant(s) de régler la totalité des sommes correspondantes.

     Ă€ noter

    Si le compte procure des intérêts, ils continuent à courir jusqu'au règlement du solde par la banque.

  • Dès que la banque a connaissance du dĂ©cès, elle procède au blocage des comptes indivis.

    La demande de clôture du compte nécessitera l'accord de l'ensemble des cotitulaires.

    Les conditions de clĂ´ture du compte joint sont les mĂŞmes que celles d'un compte individuel (compte au nom d'un seul titulaire).

    Le solde (positif ou négatif) du compte indivis est réglé en même temps que l'ensemble de la succession.

     Ă€ noter

    Si le compte procure des intérêts, ils continuent à courir jusqu'au règlement du solde par la banque.

  • Lorsqu'une personne est entrepreneur individuel (ou micro-entrepreneur), elle n'a pas l'obligation d'ouvrir un compte bancaire professionnel dĂ©diĂ©e Ă  son activitĂ©.

    De ce fait, au décès de l'entrepreneur individuel, le compte lié à son activité est celui de son compte bancaire individuel. Du fait du décès, le compte est bloqué.

    Toutefois, la personne décédée a pu ouvrir un compte distinct (dans l'éventualité où son chiffre d'affaires annuel dépassait 10 000 € durant 2 années consécutives). Ce compte n'est pas considéré comme un compte bancaire professionnel. Il est assimilé à un compte individuel. Du fait du décès, il est bloqué et les procurations qui avaient été accordées sur ce compte prennent fin au moment du décès. Les conditions de clôture de ce compte distinct sont les mêmes que celles d'un compte individuel (compte au nom d'un seul titulaire).

      Ă€ savoir

    Si la personne décédée était dirigeant d'une société avec plusieurs associés, le compte bancaire n'est pas bloqué car il s'agit du compte bancaire de la société. Sa gestion relève des associés et des héritiers de la personne décédée.

  • Dès que la banque a connaissance du dĂ©cès, elle procède au blocage des portefeuilles de titres de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e.

    En principe, la banque ne peut plus effectuer d'achat ou de vente de titres. Elle pourra le faire seulement si tous les héritiers donnent leur accord.

  • Dès que la banque a connaissance du dĂ©cès, elle procède au blocage de l'accès au coffre louĂ© par la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. Les procurations qui avaient Ă©tĂ© accordĂ©es sur le coffre prennent fin au moment du dĂ©cès.

    Si le coffre est lié à un compte joint, il n'est pas bloqué. Toutefois, il est recommandé de demander le blocage et de faire procéder à un inventaire en présence des héritiers et du cotitulaire du coffre pour sauvegarder les intérêts de chacun.

  • La personne survivante du couple peut poursuivre la relation de travail avec le salariĂ©. Elle doit s'assurer qu'elle est bien immatriculĂ©e en tant que particulier employeur auprès de l'Urssaf. Si besoin, elle peut procĂ©der Ă  la rectification auprès de cet organisme.

  • Le dĂ©cès du particulier employeur met fin automatiquement au contrat de travail du salariĂ©.

    La rupture du contrat de travail intervient à la date du décès du particulier employeur.

    Dès que possible, vous devez informer le salarié du décès du particulier employeur et lui envoyer un document écrit.

    La situation varie selon que le salarié est en contrat à durée indéterminée (CDI) ou à durée déterminée (CDD).

    • Sommes dues

      Indemnité compensatrice de congés payés

      S'il reste des congés payés non pris à la date de rupture du contrat, une indemnité compensatrice de congés payés est due.

      Cette indemnité est égale au plus élevé des 2 montants :

      • RĂ©munĂ©ration brute perçue par le salariĂ© pour une durĂ©e du travail Ă©quivalente Ă  celle des congĂ©s payĂ©s restants
      • 1/10e de la rĂ©munĂ©ration totale brute perçue au cours de l'annĂ©e de rĂ©fĂ©rence

      En cas de recours au Cesu, si les congés sont payés tous les mois, ils ne donnent pas lieu à indemnité compensatrice.

      Documents de fin de contrat

      Il faut remettre au salarié les documents suivants :

      • Certificat de travail
      • Attestation PĂ´le emploi
      • Reçu pour solde de tout compte qui dĂ©taille les sommes versĂ©es lors de la rupture du contrat de travail.

      Ces documents sont remis dans un délai de 30 jours calendaires à compter du décès.

    • En principe, le seul cas de recours au CDD prĂ©vu par le code du travail pour le particulier employeur est le remplacement d'un salariĂ© absent.

      Les règles diffèrent selon que le CDD est sans terme précis ou à terme précis.

      • C'est le dĂ©part dĂ©finitif du salariĂ© remplacĂ© qui met un terme au CDD.

      • Le CDD prend fin Ă  la date prĂ©vue et les hĂ©ritiers payent le salariĂ© jusqu'Ă  la date de fin initialement prĂ©vue.

        Si le contrat est rompu par anticipation, le salarié a droit à des dommages et intérêts.

  • Les hĂ©ritiers n'ont rien Ă  payer. Toutefois, sachez qu'il y a rĂ©gulièrement des sommes supplĂ©mentaires Ă  payer (notamment liĂ©es Ă  l'Ă©volution des prix depuis la signature du contrat obsèques).

  • Les hĂ©ritiers doivent payer les frais d'obsèques, peu importe l'existence ou l'absence de liens affectifs avec le dĂ©funt et mĂŞme s'ils renoncent Ă  la succession.

    Seule exception : un héritier n'a pas à payer les frais funéraires si la personne décédée a gravement manqué à ses obligations envers lui.

    Si un seul héritier a signé le contrat avec l'entreprise de pompes funèbres, il règle seul la facture. Il doit demander ensuite aux autres héritiers de rembourser leur part.

    Les frais d'obsèques sont répartis entre les héritiers en proportion de la valeur de ce que chacun recueille dans la succession :

    • Soit l'hĂ©ritier qui a payĂ© les frais demande Ă  un commissaire de justice (anciennement huissier de justice et commissaire-priseur judiciaire) d'engager une sommation de payer ou une procĂ©dure de recouvrement des petites crĂ©ances,
    • Soit il saisit le tribunal par assignation ou par requĂŞte.

    Si la famille de la personne décédée n'a pas des ressources suffisantes, le maire du lieu de décès évalue l'insuffisance de ressources. S'il le décide, la commune prend en charge les frais d'obsèques. Dans ce cas, c'est la mairie qui choisit l'organisme de pompes funèbres.

      Ă€ savoir

    Vous pouvez vous rapprocher des organismes de sécurité sociale, de retraite, de mutuelles, d’assurances, des employeurs pour examiner les possibilités de prise en charge des frais d’obsèques.

    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès des caisses de retraite :

      Les caisses de retraite sont directement informées du décès par les services de l’État.

      • Vous pouvez demander la pension de rĂ©version. Cette pension correspond Ă  une partie de la retraite dont bĂ©nĂ©ficiait la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. Vos ressources annuelles brutes doivent ĂŞtre infĂ©rieures Ă  un certain montant. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur qui permet d'estimer votre droit Ă  la pension et/ou consulter notre page consacrĂ©e Ă  la pension de rĂ©version.
      • Vous pouvez Ă©galement demander la pension de rĂ©version de la retraite complĂ©mentaire. Elle correspond Ă  60 % des droits que percevait la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. Elle est attribuĂ©e sans condition de ressources. Par contre, vous ne devez pas vous remarier.
      • Si vous avez au moins 65 ans et que vous avez de faibles ressources, vous pouvez demander l'allocation de solidaritĂ© aux personnes âgĂ©es - Aspa (ex-minimum vieillesse). Vos revenus ne doivent pas dĂ©passer un certain montant. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page consacrĂ©e Ă  l'Aspa.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Si vous ĂŞtes atteint d'une invaliditĂ© qui rĂ©duit d'au moins 2/3 votre capacitĂ© de travail et que la personne dĂ©cĂ©dĂ©e touchait une pension d'invaliditĂ© ou de retraite, vous pouvez demander la pension d'invaliditĂ© de veuve ou de veuf. Elle correspond Ă  un pourcentage du montant de le pension que touchait la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. Pour en savoir plus, vous pouvez notre page consacrĂ©e Ă  la pension.
      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
      • Vous devez remettre la carte Vitale de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  la CPAM ou la MSA (ou l'envoyer par courrier).

      Auprès de la Cnav ou de la MSA :

      • Vous pouvez demander l'allocation veuvage si la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă©tait affiliĂ©e Ă  l'assurance vieillesse au moins 3 mois, continus ou non, durant l'annĂ©e prĂ©cĂ©dant le dĂ©cès. Vos ressources ne doivent pas dĂ©passer un certain montant. Vous ne devez pas vivre en couple (remariage, concubinage, Pacs). Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page consacrĂ©e Ă  l'allocation veuvage.

      Auprès de la Caf ou de la MSA :

      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
      • Si vous ĂŞtes locataire et avez des revenus modestes, vous pouvez demander une allocation logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter utiliser un simulateur et/ou consulter notre page sur les allocations logement.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de la caisse de retraite :

      Vous pouvez demander la pension de réversion. Cette pension correspond à une partie de la retraite dont bénéficiait la personne décédée.

      Pour toucher la pension de réversion, vous devez remplir au moins une des 4 conditions suivantes :

      • Vous avez au moins 1 enfant qui est issu de ce mariage, y compris les enfants nĂ©s avant le mariage, reconnus par le père au nom duquel les droits Ă  pension ont Ă©tĂ© acquis
      • Votre mariage a durĂ© au moins 4 ans (pour les couples de mĂŞme sexe mariĂ©s au plus tard le 31 dĂ©cembre 2014, la durĂ©e du Pacs prĂ©cĂ©dant le mariage est prise en compte dans le calcul des 4 ans)
      • Votre mariage a Ă©tĂ© cĂ©lĂ©brĂ© 2 ans au moins avant la mise Ă  la retraite de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e
      • La personne dĂ©cĂ©dĂ©e touchait une pension d'invaliditĂ© et le mariage a eu lieu avant l'Ă©vĂ©nement qui a entraĂ®nĂ© sa mise Ă  la retraite

      Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur qui permet de savoir si vous pouvez bénéficier de la pension et/ou consulter notre page consacrée à la pension de réversion.

      Auprès de la caisse d'assurance maladie :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
      • Vous devez remettre la carte Vitale de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  la caisse (ou l'envoyer par courrier).

      Auprès de la Caf ou de la MSA :

      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
      • Si vous ĂŞtes locataire et avez des revenus modestes, vous pouvez demander une allocation logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter utiliser un simulateur et/ou consulter notre page sur les allocations logement.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès des caisses de retraite :

      Les caisses de retraite sont directement informées du décès par les services de l’État.

      • Vous pouvez demander une pension de rĂ©version si vous avez au moins 55 ans et en fonction de vos revenus. Cette pension correspond Ă  une partie de la retraite dont bĂ©nĂ©ficiait la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. La demande de pension de rĂ©version se fait auprès du rĂ©gime gĂ©nĂ©ral de la SĂ©curitĂ© sociale, dans les mĂŞmes conditions que pour un ayant droit d'un dĂ©funt ayant travaillĂ© dans le privĂ©. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter un simulateur qui permet d'estimer votre droit Ă  la pension et/ou consulter notre page consacrĂ©e Ă  la pension de rĂ©version.
      • Vous pouvez Ă©galement demander la pension de rĂ©version de la retraite complĂ©mentaire auprès de l'Ircantec. La pensionn correspond Ă  60 % des droits que percevait la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. Elle est attribuĂ©e sans condition de ressources. Par contre, vous ne devez pas vous remarier.
      • Si vous avez de faibles ressources, vous pouvez demander l'allocation de solidaritĂ© aux personnes âgĂ©es - Aspa (ex-minimum vieillesse). Vos revenus ne doivent pas dĂ©passer un certain montant. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page consacrĂ©e Ă  l'Aspa.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
      • Vous devez remettre la carte Vitale de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  la CPAM ou la MSA (ou l'envoyer par courrier).

      Auprès de la Caf ou de la MSA :

      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
      • Si vous ĂŞtes locataire et avez des revenus modestes, vous pouvez demander une allocation logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter utiliser un simulateur et/ou consulter notre page sur les allocations logement.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès des caisses de retraite :

      Les caisses de retraite sont directement informées du décès par les services de l’État.

      • Vous pouvez demander la pension de rĂ©version. Cette pension correspond Ă  une partie de la retraite dont bĂ©nĂ©ficiait la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. Vos ressources annuelles brutes doivent ĂŞtre infĂ©rieures Ă  un certain montant. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur qui permet d'estimer votre droit Ă  la pension et/ou consulter notre page consacrĂ©e Ă  la pension de rĂ©version.
      • Vous pouvez Ă©galement demander la pension de rĂ©version de la retraite complĂ©mentaire. Elle correspond Ă  60 % des droits que percevait la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. Elle est attribuĂ©e sans condition de ressources. Par contre, vous ne devez pas vous remarier.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Vous pouvez demander le versement d'une somme forfaitaire appelĂ©e capital dĂ©cès. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page sur le capital dĂ©cès.
      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
      • Si vous ĂŞtes atteint d'une invaliditĂ© qui rĂ©duit d'au moins 2/3 votre capacitĂ© de travail et que la personne dĂ©cĂ©dĂ©e touchait une pension d'invaliditĂ© ou de retraite, vous pouvez demander la pension d'invaliditĂ© de veuve ou de veuf. Elle correspond Ă  un pourcentage du montant de le pension que touchait la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. Pour en savoir plus, vous pouvez notre page consacrĂ©e Ă  la pension.
      • Si la personne est dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  l'occasion d'un accident du travail ou de trajet, vous pouvez demander, sous conditions, une aide financière de votre organisme de sĂ©curitĂ© sociale. Cette aide financière vous est accordĂ©e sous forme de rente, c'est-Ă -dire une somme d'argent versĂ©e pĂ©riodiquement. Mais attention :
      • Si la personne est dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  la suite d'une maladie professionnelle, vous pouvez demander, sous conditions, une aide financière. Cette aide financière vous est accordĂ©e sous forme de rente, c'est-Ă -dire une somme d'argent versĂ©e pĂ©riodiquement. Vous pouvez demander la rente si vous ĂŞtes dans l'un des cas suivants :
      • Vous devez remettre la carte Vitale de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  la CPAM ou la MSA (ou l'envoyer par courrier).

      Auprès de la Cnav ou de la MSA :

      • Vous pouvez demander l'allocation veuvage si la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă©tait affiliĂ©e Ă  l'assurance vieillesse au moins 3 mois, continus ou non, durant l'annĂ©e prĂ©cĂ©dant le dĂ©cès. Vos ressources ne doivent pas dĂ©passer un certain montant. Vous ne devez pas vivre en couple (remariage, concubinage, Pacs). Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page consacrĂ©e Ă  l'allocation veuvage.

      Auprès de la Caf ou de la MSA :

      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
      • Si vous ĂŞtes locataire et avez des revenus modestes, vous pouvez demander une allocation logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter utiliser un simulateur et/ou consulter notre page sur les allocations logement.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de la caisse de retraite :

      Vous pouvez demander la pension de réversion. Cette pension correspond à une partie de la retraite dont aurait bénéficié la personne décédée.

      Pour toucher la pension de réversion, vous devez remplir au moins une des 4 conditions suivantes :

      • Vous avez au moins 1 enfant qui est issu de ce mariage, y compris les enfants nĂ©s avant le mariage, reconnus par le père au nom duquel les droits Ă  pension ont Ă©tĂ© acquis
      • Votre mariage a durĂ© au moins 4 ans (pour les couples de mĂŞme sexe mariĂ©s au plus tard le 31 dĂ©cembre 2014, la durĂ©e du Pacs prĂ©cĂ©dant le mariage est prise en compte dans le calcul des 4 ans)
      • Votre mariage a Ă©tĂ© cĂ©lĂ©brĂ© 2 ans au moins avant la mise Ă  la retraite de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e
      • La personne dĂ©cĂ©dĂ©e touchait une pension d'invaliditĂ© et le mariage a eu lieu avant l'Ă©vĂ©nement qui a entraĂ®nĂ© sa mise Ă  la retraite

      Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur qui permet d'estimer votre droit à la pension et/ou consulter notre page consacrée à la pension de réversion.

      Auprès de l’administration employeur de la personne décédée :

      • Vous pouvez demander le versement d'une somme forfaitaire appelĂ©e capital dĂ©cès. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page sur le capital dĂ©cès.

      Auprès de la caisse d'assurance maladie :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
      • Vous devez remettre la carte Vitale de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  la caisse d'assurance maladie (ou l'envoyer par courrier).

      Auprès de la Caf ou de la MSA :

      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
      • Si vous ĂŞtes locataire et avez des revenus modestes, vous pouvez demander une allocation logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter utiliser un simulateur et/ou consulter notre page sur les allocations logement.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès des caisses de retraite :

      Les caisses de retraite sont directement informées du décès par les services de l’État.

      • Vous pouvez demander une pension de rĂ©version si vous avez au moins 55 ans et en fonction de vos revenus. Cette pension correspond Ă  une partie de la retraite dont bĂ©nĂ©ficiait la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. La demande de pension de rĂ©version se fait auprès du rĂ©gime gĂ©nĂ©ral de la SĂ©curitĂ© sociale, dans les mĂŞmes conditions que pour un ayant droit d'un dĂ©funt ayant travaillĂ© dans le privĂ©. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter un simulateur qui permet d'estimer votre droit Ă  la pension et/ou consulter notre page consacrĂ©e Ă  la pension de rĂ©version.
      • Vous pouvez Ă©galement demander la pension de rĂ©version de la retraite complĂ©mentaire auprès de l'Ircantec. La pensionn correspond Ă  60 % des droits que percevait la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. Elle est attribuĂ©e sans condition de ressources. Par contre, vous ne devez pas vous remarier.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
      • Vous devez remettre la carte Vitale de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  la CPAM ou la MSA (ou l'envoyer par courrier).

      Auprès de la Caf ou de la MSA :

      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
      • Si vous ĂŞtes locataire et avez des revenus modestes, vous pouvez demander une allocation logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter utiliser un simulateur et/ou consulter notre page sur les allocations logement.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de Pôle emploi :

      • Vous devez informer PĂ´le emploi du dĂ©cès notamment afin de faire cesser le versement des allocations : vous pouvez appeler le 39 49 ou vous dĂ©placer Ă  l'agence PĂ´le emploi.
      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez Ă©galement demander le versement des allocations chĂ´mage qui restent dues au jour du dĂ©cès.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Sous certaines conditions, vous pouvez demander le versement d'une somme forfaitaire appelĂ©e capital dĂ©cès. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page sur le capital dĂ©cès.
      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
      • Vous devez remettre la carte Vitale de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  la CPAM ou la MSA (ou l'envoyer par courrier).

      Auprès de la caisse de retraite :

      • Si la personne dĂ©cĂ©dĂ©e a cotisĂ© pour la retraite du rĂ©gime gĂ©nĂ©ral de la SĂ©curitĂ© sociale ou de la MSA et si vos ressources ne dĂ©passent pas un certain montant, vous pouvez demander la pension de rĂ©version. Cette pension correspond Ă  une partie de la retraite dont bĂ©nĂ©ficiait la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter un simulateur qui permet d'estimer votre droit Ă  la pension et/ou consulter notre page consacrĂ©e Ă  la pension de rĂ©version.
      • Si la personne dĂ©cĂ©dĂ©e a Ă©tĂ© affiliĂ©e Ă  l'assurance vieillesse au moins 3 mois durant l'annĂ©e prĂ©cĂ©dant le dĂ©cès, vous pouvez demander l'allocation veuvage. Vos ressources ne doivent pas dĂ©passer un certain montant. Vous ne devez pas vivre en couple (remariage, concubinage, Pacs). Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page consacrĂ©e Ă  l'allocation veuvage.

      Auprès de la Caf ou de la MSA :

      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
      • Si vous ĂŞtes locataire et avez des revenus modestes, vous pouvez demander une allocation logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter utiliser un simulateur et/ou consulter notre page sur les allocations logement.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.

      Auprès de la Caf ou de la MSA :

      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
      • Si vous ĂŞtes locataire et avez des revenus modestes, vous pouvez demander une allocation logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter utiliser un simulateur et/ou consulter notre page sur les allocations logement.
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      Auprès de la caisse d'assurance maladie :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
      • Vous devez remettre la carte Vitale de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  la CPAM ou la MSA (ou l'envoyer par courrier).

      Auprès de la Caf ou de la MSA :

      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
      • Si vous ĂŞtes locataire et avez des revenus modestes, vous pouvez demander une allocation logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter utiliser un simulateur et/ou consulter notre page sur les allocations logement.
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      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.

      Auprès de la Caf ou de la MSA :

      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
      • Si vous ĂŞtes locataire et avez des revenus modestes, vous pouvez demander une allocation logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter utiliser un simulateur et/ou consulter notre page sur les allocations logement.
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      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Vous pouvez demander le versement d'une somme forfaitaire appelĂ©e capital dĂ©cès. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page sur le capital dĂ©cès.
      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
      • Si la personne est dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  l'occasion d'un accident du travail ou de trajet, vous pouvez demander, sous conditions, une aide financière de votre organisme de sĂ©curitĂ© sociale. Cette aide financière vous est accordĂ©e sous forme de rente, c'est-Ă -dire une somme d'argent versĂ©e pĂ©riodiquement. Mais attention :
      • Si la personne est dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  la suite d'une maladie professionnelle, vous pouvez demander, sous conditions, une aide financière. Cette aide financière vous est accordĂ©e sous forme de rente, c'est-Ă -dire une somme d'argent versĂ©e pĂ©riodiquement. Vous pouvez demander la rente si vous ĂŞtes dans l'un des cas suivants :
      • Vous devez remettre la carte Vitale de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  la CPAM ou la MSA (ou l'envoyer par courrier).

      Auprès de la Caf ou de la MSA :

      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
      • Si vous ĂŞtes locataire et avez des revenus modestes, vous pouvez demander une allocation logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter utiliser un simulateur et/ou consulter notre page sur les allocations logement.
    •   Ă€ savoir

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      Auprès de la caisse d'assurance maladie :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
      • Vous devez remettre la carte Vitale de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  la caisse d'assurance maladie (ou l'envoyer par courrier).

      Auprès de la Caf ou de la MSA :

      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
      • Si vous ĂŞtes locataire et avez des revenus modestes, vous pouvez demander une allocation logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter utiliser un simulateur et/ou consulter notre page sur les allocations logement.
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      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
      • Vous devez remettre la carte Vitale de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  la CPAM ou la MSA (ou l'envoyer par courrier).

      Auprès de la Caf ou de la MSA :

      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
      • Si vous ĂŞtes locataire et avez des revenus modestes, vous pouvez demander une allocation logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter utiliser un simulateur et/ou consulter notre page sur les allocations logement.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de Pôle emploi :

      • Vous devez informer PĂ´le emploi du dĂ©cès notamment afin de faire cesser le versement des allocations : vous pouvez appeler le 39 49 ou vous dĂ©placer Ă  l'agence PĂ´le emploi.
      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez Ă©galement demander le versement des allocations chĂ´mage qui restent dues au jour du dĂ©cès.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Sous certaines conditions, vous pouvez demander le versement d'une somme forfaitaire appelĂ©e capital dĂ©cès. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page sur le capital dĂ©cès.
      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
      • Vous devez remettre la carte Vitale de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  la CPAM ou la MSA (ou l'envoyer par courrier).

      Auprès de la Caf ou de la MSA :

      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
      • Si vous ĂŞtes locataire et avez des revenus modestes, vous pouvez demander une allocation logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter utiliser un simulateur et/ou consulter notre page sur les allocations logement.
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      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
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      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
      • Vous devez remettre la carte Vitale de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  la CPAM ou la MSA (ou l'envoyer par courrier).

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      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
      • Si vous ĂŞtes locataire et avez des revenus modestes, vous pouvez demander une allocation logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter utiliser un simulateur et/ou consulter notre page sur les allocations logement.
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      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.

      Auprès de la Caf ou de la MSA :

      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
      • Si vous ĂŞtes locataire et avez des revenus modestes, vous pouvez demander une allocation logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter utiliser un simulateur et/ou consulter notre page sur les allocations logement.
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      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
      • Vous devez remettre la carte Vitale de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  la CPAM ou la MSA (ou l'envoyer par courrier).

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      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
      • Si vous ĂŞtes locataire et avez des revenus modestes, vous pouvez demander une allocation logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter utiliser un simulateur et/ou consulter notre page sur les allocations logement.
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      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
      • Vous devez remettre la carte Vitale de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  la caisse d'assurance maladie (ou l'envoyer par courrier).

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      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
      • Si vous ĂŞtes locataire et avez des revenus modestes, vous pouvez demander une allocation logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter utiliser un simulateur et/ou consulter notre page sur les allocations logement.
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      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
      • Vous devez remettre la carte Vitale de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  la CPAM ou la MSA (ou l'envoyer par courrier).

      Auprès de la Caf ou de la MSA :

      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
      • Si vous ĂŞtes locataire et avez des revenus modestes, vous pouvez demander une allocation logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter utiliser un simulateur et/ou consulter notre page sur les allocations logement.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de Pôle emploi :

      • Vous devez informer PĂ´le emploi du dĂ©cès notamment afin de faire cesser le versement des allocations : vous pouvez appeler le 39 49 ou vous dĂ©placer Ă  l'agence PĂ´le emploi.
      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez Ă©galement demander le versement des allocations chĂ´mage qui restent dues au jour du dĂ©cès.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
      • Vous devez remettre la carte Vitale de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  la CPAM ou la MSA (ou l'envoyer par courrier).

      Auprès de la Caf ou de la MSA :

      • Si vous Ă©levez seul un enfant, vous pouvez demander l'allocation de soutien familial (ASF) sous certaines conditions. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la rubrique concernĂ©e sur le site de la Caf.
      • Si vos ressources sont modestes, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier sous certaines conditions du revenu de solidaritĂ© active (RSA). Il permet de bĂ©nĂ©ficier d'un niveau minimum de revenu et d'un programme d’accompagnement Ă  l’insertion professionnelle. Pour en savoir plus, vous pouvez utiliser un simulateur et/ou consulter notre dossier consacrĂ© au RSA.
      • Si vous ĂŞtes locataire et avez des revenus modestes, vous pouvez demander une allocation logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter utiliser un simulateur et/ou consulter notre page sur les allocations logement.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de la caisse de retraite complémentaire :

      • Si vos 2 parents sont dĂ©cĂ©dĂ©s, vous pouvez demander la pension de rĂ©version de la retraite complĂ©mentaire de votre parent qui vient de dĂ©cĂ©der. La pension est attribuĂ©e sans condition de ressources. Le montant de la pension correspond Ă  60 % des droits que percevait la personne dĂ©cĂ©dĂ©e.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de la caisse de retraite :

      Les caisses de retraite sont directement informées du décès par les services de l’État.

      Sous certaines conditions, vous pouvez demander la pension d'orphelin. Elle est égale à 10% de la pension que la personne décédée percevait. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page sur cette pension.

      Auprès de la caisse d'assurance maladie :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
      • Vous devez remettre la carte Vitale de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  la CPAM ou la MSA (ou l'envoyer par courrier).
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Vous pouvez demander le versement d'une somme forfaitaire appelĂ©e capital dĂ©cès. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page sur le capital dĂ©cès.
      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de la caisse de retraite :

      Sous certaines conditions, vous pouvez demander la pension d'orphelin. Elle est égale à 10% de la pension que la personne décédée aurait pu percevoir. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page sur cette pension.

      Auprès de l’administration employeur de la personne décédée :

      • Vous pouvez demander le versement d'une somme forfaitaire appelĂ©e capital dĂ©cès. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page sur le capital dĂ©cès.

      Auprès de la caisse d'assurance maladie :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
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      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de Pôle emploi :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le versement des allocations chĂ´mage qui restent dues au jour du dĂ©cès.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Sous certaines conditions, vous pouvez demander le versement d'une somme forfaitaire appelĂ©e capital dĂ©cès. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page sur le capital dĂ©cès.
      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès des caisses de retraite

      Les caisses de retraite sont directement informées du décès par les services de l’État.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès des caisses de retraite

      Les caisses de retraite sont directement informées du décès par les services de l’État.

      Auprès de la caisse d'assurance maladie :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès des caisses de retraite

      Les caisses de retraite sont directement informées du décès par les services de l’État.

      Auprès de la caisse d'assurance maladie :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Vous pouvez demander le versement d'une somme forfaitaire appelĂ©e capital dĂ©cès. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page sur le capital dĂ©cès.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de l’administration employeur de la personne décédée :

      Si la personne décédée n'était ni mariée, ni pacsée et n'a pas eu d'enfant, vous pouvez demander le versement d'une somme forfaitaire appelée capital décès. Mais vous devez remplir 2 conditions :

      • ĂŠtre Ă  la charge du ou de la fonctionnaire au moment de son dĂ©cès
      • ĂŠtre imposable sur le revenu.

      Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page sur le capital décès.

      Auprès de la caisse d'assurance maladie :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.
    •   Ă€ savoir

      Il n'existe pas de téléservice permettant de prévenir toutes les administrations en une seule fois qu'un proche est décédé.

      Auprès de Pôle emploi :

      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le versement des allocations chĂ´mage qui restent dues au jour du dĂ©cès.

      Auprès de la CPAM ou de la MSA :

      • Sous certaines conditions, vous pouvez demander le versement d'une somme forfaitaire appelĂ©e capital dĂ©cès. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page sur le capital dĂ©cès.
      • Si vous ĂŞtes hĂ©ritier, vous pouvez demander le remboursement des frais de maladie encore dus Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. En effet, si des remboursements de frais de santĂ© n'ont pas Ă©tĂ© versĂ©s Ă  l'assurĂ© de son vivant et restent dus Ă  la date de son dĂ©cès, ses hĂ©ritiers peuvent en obtenir le remboursement Ă  la caisse d'assurance maladie. Pour en savoir plus, le site Ameli prĂ©sente les informations.

Vous devez vous occuper des papiers administratifs de la personne décédée. Il est recommandé de respecter les délais de conservation des papiers.

Si la personne décédée avait des comptes sur les réseaux sociaux, les proches peuvent demander soit la suppression du compte (les formulaires de suppression sont disponibles sur la plupart des réseaux), soit (sur certains réseaux seulement) demander la transformation en compte commémoratif. Des documents prouvant que vous êtes un proche de la personne décédée vous seront demandés. La Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) présente les informations à connaître.

Mise à jour du taux de prélèvement pour les époux dans les 2 mois après le décès

Vous devez déclarer le changement de situation à votre centre des impôts dans les 2 mois du décès qui suivent le décès.

Vous pourrez aussi confirmer ou modifier vos coordonnées bancaires et/ou indiquer une évolution de vos revenus.

Votre taux de prélèvement à la source sera alors mis à jour.

L'année suivant le décès : faire la déclaration de revenus

L'année qui suit le décès, vous devez déclarer les derniers revenus de la personne décédée à l'administration fiscale.

Vous déclarez ses revenus du 1er janvier à la date de son décès.

Vous devez déposer 2 déclarations de revenus au printemps de l’année après celle du décès : vous devez déposer

  • une dĂ©claration commune pour le couple du 1er janvier jusqu’à la date du dĂ©cès
  • et une dĂ©claration individuelle, Ă  votre seul nom, de la date du dĂ©cès au 31 dĂ©cembre.

 Ă€ noter

Le site impots.gouv.fr met à disposition des informations complémentaires sur les conséquences du décès au plan fiscal.

Vous pouvez Ă©galement contacter le service des impĂ´ts.

Mise à jour du taux de prélèvement pour les partenaires de Pacs dans les 2 mois après le décès

Vous devez déclarer le changement de situation à votre centre des impôts dans les 2 mois du décès qui suivent le décès.

Vous pourrez aussi confirmer ou modifier vos coordonnées bancaires et/ou indiquer une évolution de vos revenus.

Votre taux de prélèvement à la source sera alors mis à jour.

L'année suivant le décès : faire la déclaration de revenus

L'année qui suit le décès, vous devez déclarer les derniers revenus de la personne décédée à l'administration fiscale.

Vous déclarez ses revenus du 1er janvier à la date de son décès.

Vous devez déposer 2 déclarations de revenus au printemps de l’année après celle du décès : vous devez déposer

  • une dĂ©claration commune pour le couple du 1er janvier jusqu’à la date du dĂ©cès
  • et une dĂ©claration individuelle, Ă  votre seul nom, de la date du dĂ©cès au 31 dĂ©cembre.

 Ă€ noter

Le site impots.gouv.fr met à disposition des informations complémentaires sur les conséquences du décès au plan fiscal.

Vous pouvez Ă©galement contacter le service des impĂ´ts.

Même si ce n'est pas obligatoire, il est utile, si votre enfant était rattaché à votre foyer fiscal, de vous rapprocher de votre centre des finances publiques pour signaler le décès.

Il faudra penser à modifier la composition du foyer fiscal dans la déclaration de revenus l'année qui suit le décès.

 Ă€ noter

Le site impots.gouv.fr met à disposition des informations complémentaires sur les conséquences du décès au plan fiscal.

Vous pouvez Ă©galement contacter le service des impĂ´ts.

La personne décédée était locataire de sa résidence principale

Si la personne décédée louait sa résidence principale, vous devez prévenir le propriétaire du bien.

Vous pouvez trouver ses coordonnées, par exemple, dans le bail ou sur une quittance de loyer. Vous pouvez aussi vous rapprocher de l’agence immobilière, de l’administrateur de biens ou du bailleur social à qui a été confiée la gestion du bien.

 Ă€ noter

Si le logement était un logement de fonction, il faudra contacter l’employeur de la personne décédée.

En principe, le décès du locataire ne met pas fin au contrat de location (appelé bail) de sa résidence principale.

Il existe des exceptions :

  • Le contrat de location contient une clause qui prĂ©voit la fin du bail en cas de dĂ©cès du locataire
  • Le locataire Ă©tait cĂ©libataire, vivait seul et n’avait pas d’hĂ©ritier
  • Le contrat de location Ă©tait rĂ©gi par la loi du 1er septembre 1948. Un droit au maintien dans les lieux est toutefois rĂ©servĂ© Ă  certaines personnes, sous conditions.

Vous devez vous procurer une copie du bail pour connaître le régime applicable (loi 1989, loi 1948, HLM).

  • Il faut, d'abord, dĂ©terminer la personne qui peut bĂ©nĂ©ficier de droit sur le logement, puis gĂ©rer les diffĂ©rents contrats attachĂ©s au bien.

    • Le dĂ©cès ne mettant pas fin au contrat, le bail est transfĂ©rĂ© et se poursuit dans les mĂŞmes conditions.

      Il faut déterminer au profit de quelle personne le bail est transmis. La situation varie selon le statut de la personne (époux, enfant, etc.).

      Si plusieurs personnes demandent à bénéficier du bail (ascendant, descendant, etc.), le juge se prononcera en fonction des intérêts en présence.

      À noter : le transfert du bail au profit des différents bénéficiaires (par exemple : enfant) n’est pas possible si l'époux(se) du locataire décédé est cotitulaire du bail. Le transfert sera possible uniquement si l'époux(se) a renoncé à son droit exclusif sur le bail.

      Pour prévenir le propriétaire du bien du décès du locataire, il est possible d'utiliser ce modèle de lettre  :

      Modèle de document
      Informer le propriétaire du décès du locataire

      AccĂ©der au modèle de document  

      Direction de l'information légale et administrative (Dila) - Première ministre

      • L'Ă©poux(se) de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e a des droits sur le logement qui vont varier, selon sa situation.

        • L'Ă©poux(se) peut souhaiter rester dans le logement qu'il/elle occupait, Ă  titre de rĂ©sidence principale, avec la personne dĂ©cĂ©dĂ©e.

          À cet effet, l'époux(se) dispose d’un droit temporaire d’occupation du logement après le décès.

          Pour bénéficier de ce droit, il/elle doit avoir occupé le logement au moment du décès.

          Ce droit d’occupation s’impose aux héritiers de la personne décédée.

          L'époux(se) peut donc occuper gratuitement le logement garni de tous ces meubles pendant 1 an à compter du décès. En effet, l'époux(se) aura le droit au remboursement les loyers par la succession, pendant l'année, au fur et à mesure de leur acquittement.

        • Si l'Ă©poux(se) vivait avec le locataire au moment de son dĂ©cès et Ă©tait cotitulaire du bail, il dispose d’un droit prioritaire sur le bail.

          Les loyers futurs sont Ă  sa charge.

          L'époux(se) peut renoncer à ce droit. Dans ce cas, il/elle doit informer, par lettre recommandée avec accusé de réception, le propriétaire du logement. La résiliation du bail nécessite de respecter le délai de préavis prévu au contrat.

        • Le droit sur le bail est diffĂ©rent selon que l'Ă©poux(se) vivait ou non avec le locataire au moment de son dĂ©cès.

          • Si l'Ă©poux(se) vivait toujours avec le locataire au moment de son dĂ©cès et n'Ă©tait pas cotitulaire du bail, il/elle dispose d’un droit au transfert du bail.

            Les loyers futurs sont Ă  sa charge.

            Pour prévenir le propriétaire du bien du décès du locataire, il est possible d'utiliser ce modèle de lettre  :

            Modèle de document
            Informer le propriétaire du décès du locataire

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            Direction de l'information légale et administrative (Dila) - Première ministre

          • Si, au moment du dĂ©cès, l'Ă©poux(se) ne vivait plus avec le locataire dĂ©cĂ©dĂ© dans les lieux, il/elle peut bĂ©nĂ©ficier quand mĂŞme d'un droit au transfert du bail. Toutefois, il doit en faire la demande au propriĂ©taire du logement. Il est recommandĂ© d’adresser la demande par lettre recommandĂ©e avec accusĂ© de rĂ©ception.

            Contrairement à l'époux(se) non séparé(e), l'époux(se) vient en concurrence avec d’autres bénéficiaires du transfert de bail (par exemple, un descendant). Le juge se prononcera en fonction des intérêts en présence.

            Si l'époux(se) ne souhaite pas bénéficier de ce transfert et que la personne décédée n’a pas d’héritier, le bail est résilié de plein droit.

            Si l'époux(se) bénéficie du transfert, les loyers futurs seront à sa charge.

            Dans le cas contraire, les loyers à payer depuis la date du décès constitueront une dette qui pèsera sur l’ensemble des héritiers.

            Pour prévenir le propriétaire du bien du décès du locataire, il est possible d'utiliser ce modèle de lettre  :

            Modèle de document
            Informer le propriétaire du décès du locataire

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      • Le/la partenaire liĂ©(e) Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e titulaire du bail peut bĂ©nĂ©ficier d'un droit au transfert de ce bail.

        Aucune durée minimum de vie commune n’est imposée. Un Pacs enregistré quelques jours avant le décès permet de bénéficier de ce droit au transfert.

        Si le/la partenaire souhaite bénéficier du transfert, les loyers futurs seront à sa charge.

        Si le/la partenaire renonce à ce droit, les loyers à payer depuis la date du décès constitueront une dette qui pèsera sur l’ensemble des héritiers.

        Pour prévenir le propriétaire du bien du décès du locataire, il est possible d'utiliser ce modèle de lettre  :

        Modèle de document
        Informer le propriétaire du décès du locataire

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      • Les descendants (enfants ou petits-enfants) peuvent bĂ©nĂ©ficier d'un droit au transfert du bail.

        Le transfert du bail peut s’effectuer au profit d’un descendant ou de plusieurs enfants qui vivaient ensemble dans le logement.

        Les descendants doivent avoir vécu avec le parent décédé depuis au moins un an avant la date de son décès et pouvoir le justifier.

        Ils doivent aussi rapporter la preuve qu'ils sont bien les descendants de la personne décédée.

        Si les descendants souhaitent bénéficier du transfert, les loyers futurs seront à leur charge.

        S'ils renoncent à ce droit, les loyers à payer depuis la date du décès constitueront une dette qui pèsera sur l’ensemble des héritiers.

        Pour prévenir le propriétaire du bien du décès du locataire, il est possible d'utiliser ce modèle de lettre  :

        Modèle de document
        Informer le propriétaire du décès du locataire

        AccĂ©der au modèle de document  

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      • Le/la concubin(e) peut bĂ©nĂ©ficier d'un droit au transfert du bail.

        Pour cela, il doit avoir vécu avec la personne décédée depuis au moins 1 an avant la date de son décès et le prouver par tous moyens.

        En outre, la notoriété de la vie commune est exigée : un grand nombre de personnes doivent pouvoir attester de sa relation stable et continue. La communauté de vie ne doit pas pouvoir être mise en doute. Le/la concubin(e) doit rapporter la preuve de cette notoriété.

        Si le/la concubin(e) souhaite bénéficier du transfert, les loyers futurs seront à sa charge.

        Si le/la concubin(e) renonce à ce droit, les loyers à payer depuis la date du décès constitueront une dette qui pèsera sur l’ensemble des héritiers.

        Pour prévenir le propriétaire du bien du décès du locataire, il est possible d'utiliser ce modèle de lettre  :

        Modèle de document
        Informer le propriétaire du décès du locataire

        AccĂ©der au modèle de document  

        Direction de l'information légale et administrative (Dila) - Première ministre

      • Les ascendants peuvent bĂ©nĂ©ficier d'un droit au transfert du bail.

        Pour cela, ils doivent avoir vécu avec la personne décédée depuis au moins un an avant la date de son décès et le prouver par tous moyens.

        Ils doivent aussi rapporter la preuve de leur lien de parenté avec la personne décédée.

        Si les ascendant(s) souhaitent bénéficier du transfert, les loyers futurs seront à leur charge.

        Si les ascendant(s) renoncent à ce droit, les loyers à payer depuis la date du décès constitueront une dette qui pèsera sur l’ensemble des héritiers.

        Pour prévenir le propriétaire du bien du décès du locataire, il est possible d'utiliser ce modèle de lettre  :

        Modèle de document
        Informer le propriétaire du décès du locataire

        AccĂ©der au modèle de document  

        Direction de l'information légale et administrative (Dila) - Première ministre

      • Si la personne dĂ©cĂ©dĂ©e a apportĂ© son aide Ă  une personne dont les ressources Ă©taient insuffisantes pour lui permettre de subvenir personnellement Ă  ses besoins essentiels, cette personne dite « à charge » peut bĂ©nĂ©ficier d'un droit au transfert du bail.

        Il faudra apporter la preuve que la personne décédée, titulaire du bail, lui a apporté son aide.

        Pour cela, la personne à charge doit avoir vécue avec la personne décédée au moins un an avant la date du décès.

        Si elle souhaite bénéficier du transfert, les loyers futurs seront à sa charge.

        Si elle renonce à ce droit, les loyers à payer depuis la date du décès constitueront une dette qui pèsera sur l’ensemble des héritiers.

        Pour prévenir le propriétaire du bien du décès du locataire, il est possible d'utiliser ce modèle de lettre  :

        Modèle de document
        Informer le propriétaire du décès du locataire

        AccĂ©der au modèle de document  

        Direction de l'information légale et administrative (Dila) - Première ministre

      • Le dĂ©cès n’a pas pour consĂ©quence de rĂ©silier le contrat d’assurance habitation. Il continue automatiquement au profit des hĂ©ritiers de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e.

        Toutefois, dans un premier temps, vous devez, dans les 15 jours après le décès, prévenir l’assureur auprès duquel la personne décédée avait souscrit un contrat d’assurance habitation. Vous pourrez demander si d’autres contrats (par exemple, assurance automobile) auraient été signés auprès de ce même assureur.

        Il est recommandé d’informer l’assureur par lettre recommandée avec accusé de réception (papier ou numérique). Votre courrier doit rappeler le numéro de contrat d’assurance habitation. Vous devez joindre une copie de l’acte de décès.

        Dans un deuxième temps, vérifiez la date de paiement de la cotisation d’assurance pour vous assurer que le bien est couvert par l’assurance. Tant que le logement n’est pas attribué à un héritier, le prochain paiement de cotisation est à la charge des héritiers ou de l'époux(se) de la personne décédée.

        À noter : le notaire en charge de la succession peut assurer, sur demande de tous les héritiers, le règlement de la cotisation au moyen des fonds qu’il détient pour le compte la succession à son étude.

        Dans un troisième temps, vous avez la possibilité de :

        • RĂ©silier le contrat d’assurance habitation : l’assureur ne peut pas s’y opposer
        • TransfĂ©rer le contrat d’assurance habitation : par exemple, Ă  l'Ă©poux(se) qui vivait avec la personne dĂ©cĂ©dĂ©e, au nom de l’Indivision ou au nom de l’un des hĂ©ritiers après accord de tous.

        À savoir : l'assureur dispose aussi d’un droit de résiliation dans un délai de 3 mois à partir du jour où le bénéficiaire définitif du bien a demandé le transfert du contrat d’assurance à son nom.

        • Pour rĂ©silier le contrat d’assurance habitation, vous avez le choix de formuler votre demande par l'un des moyens suivants :

          • Lettre ou tout autre support durable (par exemple, mail avec accusĂ© de rĂ©ception)
          • DĂ©claration faite au siège social ou chez le reprĂ©sentant de l'assureur (par exemple, le courtier)
          • Acte extrajudiciaire en recourant Ă  un commissaire de justice
          • Le mĂŞme mode de communication Ă  distance (tĂ©lĂ©phone, mail, plateforme…) proposĂ© par l'assureur pour la conclusion de contrat
          • Tout autre moyen prĂ©vu par le contrat (par exemple : lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception)

          Vous devrez joindre Ă  votre demande les documents suivants :

          • Attestation du notaire ou acte de notoriĂ©tĂ© prouvant votre statut d’hĂ©ritier et votre capacitĂ© Ă  rĂ©silier le contrat
          • Copie de l’acte de dĂ©cès (si votre demande de rĂ©siliation est faite en mĂŞme temps que l’annonce du dĂ©cès)

          Du fait du décès, la demande peut avoir lieu sans avoir à respecter un délai. Ainsi, elle peut avoir lieu sans attendre la date anniversaire de prise d’effet du contrat ou le délai d’un an imposé au contrat multirisque habitation.

          La résiliation du contrat d’assurance habitation prendra effet 1 mois après la réception de la lettre de résiliation par l'assureur.

          Seules les primes relatives à la période qui suit la date d'effet de la résiliation seront remboursées.

           Ă€ noter

          Tant que le règlement de la succession et le partage des biens n’ont pas eu lieu, il est préférable que le bien soit assuré pour le protéger contre les risques éventuels (vol, incendie, dégât des eaux, etc.). De ce fait, si vous résiliez ce contrat, il est recommandé d’en souscrire un autre.

        • Pour le transfert du contrat d’assurance habitation, vous devrez joindre à votre demande les documents suivants :

          • Attestation du notaire ou acte de notoriĂ©tĂ© prouvant votre statut d’hĂ©ritier et votre capacitĂ© Ă  transfĂ©rer le contrat
          • Copie de l’acte de dĂ©cès (si votre demande de transfert est faite en mĂŞme temps que l’annonce du dĂ©cès)
          • Copie de la pièce d’identitĂ© de la personne au nom duquel le contrat est transfĂ©rĂ©
          • RIB de la personne au nom duquel le contrat est transfĂ©rĂ©, si vous souhaitez rĂ©gler le paiement des cotisations futures par prĂ©lèvement

          L'assureur a alors 3 mois pour accepter ce transfert ou résilier le contrat.

          Si le transfert a été accepté par l’assureur, le paiement des prochaines cotisations seront à la charge du nouveau titulaire du contrat.

      • Vous devrez aussi informer les diffĂ©rents fournisseurs des services (eau, gaz, Ă©lectricitĂ©, tĂ©lĂ©phone, internet, etc.) auxquels a eu recours la personne dĂ©cĂ©dĂ©e et avec qui des contrats de prestations sont en cours.

        Votre courrier doit :

        • Rappeler le numĂ©ro de contrat
        • ĂŠtre accompagnĂ© d'une copie de l’acte de dĂ©cès.

        Selon les services, vous pourrez demander la résiliation du contrat ou la modification du titulaire du contrat.

        Pour résilier le contrat d'abonnement téléphone ou internet qu'avait souscrit la personne décédée, vous pouvez utiliser le modèle de lettre suivant :

        Modèle de document
        Résilier un abonnement téléphonique ou internet de la personne décédée

        Permet de résilier l'abonnement téléphone ou internet de la personne décédée.

        AccĂ©der au modèle de document  

        Direction de l'information légale et administrative (Dila) - Première ministre

  • Il faut, d'abord, dĂ©terminer la personne qui peut bĂ©nĂ©ficier du transfert du contrat de location, puis gĂ©rer les diffĂ©rents contrats attachĂ©s au logement.

    •  Ă€ noter

      Pour bénéficier d'un bail régi par la loi de 1948, le locataire doit être entré dans les lieux avant le 23 décembre 1986.

      Pour les baux d’habitation régis par la loi du 1er septembre 1948, le contrat de location est résilié automatiquement par le décès du locataire.

      Toutefois, un droit au maintien dans les lieux est réservé à certaines personnes. Ainsi, les personnes suivantes sont bénéficiaires d’un droit au maintien dans les lieux en cas de décès du locataire :

      • Époux(se) de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e
      • Partenaire liĂ© Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e par un Pacs
      • Ascendants s’ils vivaient avec le locataire dĂ©cĂ©dĂ© depuis plus d'un an
      • Enfants mineurs s’ils vivaient avec le locataire dĂ©cĂ©dĂ© depuis plus d'un an, jusqu'Ă  leur majoritĂ©
      • Personnes handicapĂ©es s’ils vivaient avec la personne dĂ©cĂ©dĂ©e depuis plus d'un an

      Si plusieurs personnes réclament le droit au maintien dans les lieux, c'est le juge qui tranchera en fonction des intérêts de chacun.

       Attention :

      Le/la concubin(e) ne bénéficie pas de ce droit.

      La personne qui bénéficie du maintien dans les lieux doit être de bonne foi. Elle doit respecter les obligations de tout locataire (paiement des loyers, entretien du logement, etc.).

      Elle n'a pas de formalité à accomplir, sauf celle de prévenir le propriétaire des lieux du décès du locataire. Le contrat se poursuit dans les mêmes conditions que le contrat d'origine. Toutefois, une majoration du loyer est appliquée à certaines personnes. Le montant du loyer est égal à la valeur locative majorée de 50 %.

      Cette majoration n'est pas appliquée lorsque le droit au maintien est attribué à la personne suivante :

      • Époux(se) du locataire dĂ©cĂ©dĂ©
      • Descendant mineur.
      • Le dĂ©cès n’a pas pour consĂ©quence de rĂ©silier le contrat d’assurance habitation. Il continue automatiquement au profit des hĂ©ritiers de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e.

        Toutefois, dans un premier temps, vous devez, dans les 15 jours après le décès, prévenir l’assureur auprès duquel la personne décédée avait souscrit un contrat d’assurance habitation.

        Il est recommandé d’informer l’assureur par lettre recommandée avec accusé de réception (papier ou numérique). Votre courrier doit rappeler le numéro de contrat d’assurance habitation. Vous devez joindre une copie de l’acte de décès.

        Dans un deuxième temps, vérifiez la date de paiement de la cotisation d’assurance pour vous assurer que le bien est couvert par l’assurance. Tant que le logement n’est pas attribué à un héritier, le prochain paiement de cotisation est à la charge des héritiers ou de l'époux(se) de la personne décédée.

        Dans un troisième temps, vous avez la possibilité de :

        • RĂ©silier le contrat d’assurance habitation : l’assureur ne peut pas s’y opposer
        • TransfĂ©rer le contrat d’assurance habitation au profit de la personne ayant bĂ©nĂ©ficiĂ© du maintien dans les lieux.

        L'assureur dispose aussi d’un droit de résiliation dans un délai de trois mois à partir du jour où le bénéficiaire définitif du bien a demandé le transfert du contrat d’assurance à son nom.

        • Pour rĂ©silier le contrat d’assurance habitation, vous avez le choix de formuler votre demande par l'un des moyens suivants :

          • Lettre ou tout autre support durable (par exemple, mail avec accusĂ© de rĂ©ception)
          • DĂ©claration faite au siège social ou chez le reprĂ©sentant de l'assureur (par exemple, le courtier)
          • Acte extrajudiciaire en recourant Ă  un commissaire de justice
          • Le mĂŞme mode de communication Ă  distance (tĂ©lĂ©phone, mail, plateforme…) proposĂ© par l'assureur pour la conclusion de contrat
          • Tout autre moyen prĂ©vu par le contrat (par exemple : lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception)

          Vous devrez joindre Ă  votre demande les documents suivants :

          • Attestation du notaire ou acte de notoriĂ©tĂ© prouvant votre statut d’hĂ©ritier et votre capacitĂ© Ă  rĂ©silier le contrat
          • Copie de l’acte de dĂ©cès (si votre demande de rĂ©siliation est faite en mĂŞme temps que l’annonce du dĂ©cès)

          Du fait du décès, la demande peut avoir lieu sans avoir à respecter un délai. Ainsi, elle peut avoir lieu sans attendre la date anniversaire de prise d’effet du contrat ou le délai d’un an imposé au contrat multirisque habitation.

          La résiliation du contrat d’assurance habitation prendra effet 1 mois après la réception de la lettre de résiliation par l'assureur.

          Seules les primes relatives à la période qui suit la date d'effet de la résiliation seront remboursées.

        • Pour le transfert du contrat d’assurance habitation, vous devrez joindre à votre demande les documents suivants :

          • Attestation du notaire ou acte de notoriĂ©tĂ© prouvant votre statut d’hĂ©ritier et votre capacitĂ© Ă  transfĂ©rer le contrat
          • Copie de l’acte de dĂ©cès (si votre demande de transfert est faite en mĂŞme temps que l’annonce du dĂ©cès)
          • Copie de la pièce d’identitĂ© de la personne au nom duquel le contrat est transfĂ©rĂ©
          • RIB de la personne au nom duquel le contrat est transfĂ©rĂ©, si vous souhaitez rĂ©gler le paiement des cotisations futures par prĂ©lèvement

          L'assureur dispose alors de 3 mois pour accepter ce transfert ou résilier le contrat.

          Si le transfert a été accepté par l’assureur, le paiement des prochaines cotisations seront à la charge du nouveau titulaire du contrat.

      • Vous devrez aussi informez les diffĂ©rents fournisseurs des services (eau, gaz, Ă©lectricitĂ©, tĂ©lĂ©phone, internet, etc.) auxquels a eu recours la personne dĂ©cĂ©dĂ©e et avec qui des contrats de prestations sont en cours.

        Votre courrier doit :

        • Rappeler le numĂ©ro de contrat
        • ĂŠtre accompagnĂ© d'une copie de l’acte de dĂ©cès.

        Selon les services, vous pourrez demander la résiliation du contrat ou la modification du titulaire du contrat.

        Pour résilier le contrat d'abonnement téléphone ou internet qu'avait souscrit la personne décédée, vous pouvez utiliser le modèle de lettre suivant :

        Modèle de document
        Résilier un abonnement téléphonique ou internet de la personne décédée

        Permet de résilier l'abonnement téléphone ou internet de la personne décédée.

        AccĂ©der au modèle de document  

        Direction de l'information légale et administrative (Dila) - Première ministre

  • Il faut, d'abord, dĂ©terminer la personne qui peut bĂ©nĂ©ficier du transfert du contrat de location, puis gĂ©rer les diffĂ©rents contrats attachĂ©s au logement.

    • Au dĂ©cès du locataire, le contrat de location peut ĂŞtre transfĂ©rĂ©, sous conditions. La demande de transfert fait l'objet d'un examen.

      Le transfert de bail se réalise uniquement si :

      • Le bĂ©nĂ©ficiaire du transfert remplit les conditions d'attribution du logement social (seuil de revenu Ă  ne pas dĂ©passer et sĂ©jour rĂ©gulier sur le territoire français)
      • Le bĂ©nĂ©ficiaire du transfert vivait avec le locataire dĂ©cĂ©dĂ© depuis au moins un an avant la date du dĂ©cès
      • Le logement est adaptĂ© Ă  la taille du mĂ©nage du bĂ©nĂ©ficiaire du transfert.

      Ces conditions sont, en principe, cumulatives. Toutefois, il existe des exceptions : selon les bénéficiaires, les conditions ne sont pas toutes exigées.

      Si plusieurs personnes demandent à bénéficier du bail (ascendant, descendant, etc.), le juge se prononcera en fonction des intérêts en présence. L'époux(se) cotulaire du bail est prioritaire.

      La demande de transfert doit être faite à l'organisme bailleur. Les coordonnées figurent dans le bail.

      La commission d'attribution des logements et d'examen de l'occupation des logements (CALEOL) examine la demande et vérifie les conditions d’éligibilité. Ces conditions sont examinées en se plaçant au jour du décès.

      Si les conditions ne sont pas remplies, le contrat de location est résilié automatiquement.

      Si les conditions sont remplies, le bail est transféré.

      • L’époux(se) de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e dispose d’un droit au transfert du bail.

        • Si l'Ă©poux(se) Ă©tait cotitulaire du bail et vivait avec le locataire au moment de son dĂ©cès, il/elle dispose d’un droit prioritaire sur le bail.

          En cas d’acceptation, les loyers futurs sont à sa charge.

          L'époux(se) peut renoncer à ce droit. Dans ce cas, il/elle doit informer, par lettre recommandée avec accusé de réception, le bailleur social. Le bail est résilié par le fait du décès.

        • Si, au moment du dĂ©cès, l'Ă©poux(se) ne vivait plus avec le locataire dans les lieux, il/elle peut, tout de mĂŞme, bĂ©nĂ©ficier d'un droit au transfert du bail.

          L'époux(se) n’est pas soumis(e) à la condition de ressources en principe exigée pour le transfert de bail d’un logement social.

          De même, il/elle n’a pas à justifier que la taille du logement est adaptée à son ménage.

          Si l'époux(se) est étranger(e), il/elle doit avoir un titre de séjour régulier sur le territoire français.

          S’il/elle souhaite bénéficier du transfert, les loyers futurs seront à sa charge.

          S’il/elle renonce à demander le transfert, le bail est résilié par le fait du décès.

      • Le/la partenaire liĂ©(e) Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e titulaire du bail peut bĂ©nĂ©ficier d'un droit au transfert de ce bail.

        Aucune durée minimum de vie commune n’est imposée.

        Le/la partenaire lié(e) à la personne décédée n’est pas soumis(e) à la condition de ressources en principe exigée pour le transfert de bail d’un logement social.

        De même, il/elle n’a pas à justifier que la taille du logement est adaptée à son ménage.

        Si le/la partenaire lié(e) à la personne décédée est étranger(e), il/elle doit avoir un titre de séjour régulier sur le territoire français.

        S’il/elle souhaite bénéficier du transfert, les loyers futurs seront à sa charge.

        S’il/elle renonce à demander le transfert, le bail est résilié par le fait du décès.

      • Les descendants peuvent bĂ©nĂ©ficier d'un droit au transfert du bail.

        Le transfert du bail peut s’effectuer au profit d’un descendant ou de plusieurs enfants qui vivaient ensemble dans le logement. 

        Les descendants doivent avoir vécu avec leur parent décédé depuis au moins un an avant la date de son décès et pouvoir le justifier.

        Ils doivent aussi rapporter la preuve qu’ils sont bien les descendants de la personne décédée.

        Les descendants sont soumis à la condition de ressources exigée pour le transfert de bail d’un logement social, sauf s’ils sont handicapés ou ont plus de 65 ans.

        Ils doivent aussi justifier que la taille du logement est adaptée à leur ménage, sauf s’ils sont handicapés ou ont plus de 65 ans. Dans ce cas, le bailleur social d’un logement non conventionné peut proposer un relogement dans un lieu plus petit.

        Si les descendants sont étrangers, ils doivent avoir un titre de séjour régulier sur le territoire français.

        S’ils souhaitent bénéficier du transfert, les loyers futurs seront à leur charge.

        S’ils renoncent à demander le transfert, le bail est résilié par le fait du décès.

      • Le/la concubin(e) peut bĂ©nĂ©ficier d'un droit au transfert du bail.

        Pour cela, il/elle doit avoir vécu avec la personne décédée depuis au moins un an avant la date de son décès et le prouver par tous moyens.

        En outre, la notoriété de la vie commune est exigée : un grand nombre de personnes doivent pouvoir attester de la relation stable et continue. La communauté de vie ne doit pas pouvoir être mise en doute. Le concubin/la concubine doit rapporter la preuve de cette notoriété.

        Le/la concubin(e) de la personne décédée n’est pas soumis à la condition de ressources en principe exigée pour le transfert de bail d’un logement social.

        De même, il/elle n’a pas à justifier que la taille du logement est adaptée à son ménage.

        Si le/la concubin(e) est étranger(e), il/elle doit avoir un titre de séjour régulier sur le territoire français.

        S’il/elle souhaite bénéficier du transfert, les loyers futurs seront à sa charge.

        S’il/elle renonce à demander le transfert, le bail est résilié par le fait du décès.

      • Les ascendants peuvent bĂ©nĂ©ficier d'un droit au transfert du bail.

        Pour cela, ils doivent avoir vécu avec la personne décédée depuis au moins un an avant la date de son décès et le prouver par tous moyens.

        Ils doivent aussi rapporter la preuve de leur lien de parenté avec la personne décédée.

        Les ascendants de la personne décédée ne sont pas soumis à la condition de ressources en principe exigée pour le transfert de bail d’un logement social.

        De même, ils n’ont pas à justifier que la taille du logement est adaptée à son ménage.

        Si les ascendants sont étrangers, ils doivent avoir un titre de séjour régulier sur le territoire français.

        S’ils souhaitent bénéficier du transfert, les loyers futurs seront à leur charge.

        S’ils renoncent à demander le transfert, le bail est résilié par le fait du décès.

      • La personne dĂ©cĂ©dĂ©e a pu apporter son aide Ă  une personne dont les ressources Ă©taient insuffisantes pour lui permettre de subvenir personnellement Ă  ses besoins essentiels.

        La personne à charge peut bénéficier d'un droit au transfert du bail.

        Elle devra apporter la preuve que la personne décédée, titulaire du bail, l'a aidée.

        La personne à charge doit avoir vécu avec la personne décédée depuis au moins un an avant la date de son décès et pouvoir le justifier.

        La personne à charge est soumise à la condition de ressources exigée pour le transfert de bail d’un logement social, sauf si elle est handicapée ou a plus de 65 ans.

        Elle doit aussi justifier que la taille du logement est adaptée à son ménage, sauf si elle est handicapée ou a plus de 65 ans.

        Si la personne à charge est étrangère, elle doit avoir un titre de séjour régulier sur le territoire français.

        Si elle souhaite bénéficier du transfert, les loyers futurs seront à sa charge.

        Si elle renonce à demander le transfert, le bail est résilié par le fait du décès.

    • Le dĂ©cès n’a pas pour consĂ©quence de rĂ©silier le contrat d’assurance habitation. Il continue automatiquement au profit des hĂ©ritiers de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e.

      Toutefois, dans un premier temps, vous devez, dans les 15 jours après le décès, prévenir l’assureur auprès duquel la personne décédée avait souscrit un contrat d’assurance habitation. Vous pourrez demander si d’autres contrats (par exemple, assurance automobile) auraient été signés auprès de ce même assureur.

      Il est recommandé d’informer l’assureur par lettre recommandée avec accusé de réception (papier ou numérique). Votre courrier doit rappeler le numéro de contrat d’assurance habitation. Vous devez joindre une copie de l’acte de décès.

      Dans un deuxième temps, vérifiez la date de paiement de la cotisation d’assurance pour vous assurer que le bien est couvert par le contrat d’assurance. Tant que le logement n’est pas attribué à un héritier, le prochain paiement de cotisation est à la charge des héritiers ou de l'époux(se) de la personne décédée.

      À noter : le notaire en charge de la succession peut assurer, sur demande de tous les héritiers, le règlement de la cotisation au moyen des fonds qu’il détient pour le compte la succession à son étude.

      Dans un troisième temps, vous avez la possibilité de :

      • RĂ©silier le contrat d’assurance habitation : l’assureur ne peut pas s’y opposer
      • TransfĂ©rer le contrat d’assurance habitation au profit de la personne qui a bĂ©nĂ©ficiĂ© du transfert du bail.

      Attention : l'assureur dispose aussi d’un droit de résiliation dans un délai de 3 mois à partir du jour où le bénéficiaire définitif du bien a demandé le transfert du contrat d’assurance à son nom.

        • Pour rĂ©silier le contrat d’assurance habitation, vous avez le choix de formuler votre demande par l'un des moyens suivants :

          • Lettre ou tout autre support durable (par exemple, mail avec accusĂ© de rĂ©ception)
          • DĂ©claration faite au siège social ou chez le reprĂ©sentant de l'assureur (par exemple, le courtier)
          • Acte extrajudiciaire en recourant Ă  un commissaire de justice
          • Le mĂŞme mode de communication Ă  distance (tĂ©lĂ©phone, mail, plateforme…) proposĂ© par l'assureur pour la conclusion de contrat
          • Tout autre moyen prĂ©vu par le contrat (par exemple : lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception)

          Vous devrez joindre à votre demande les documents suivants :

          • Attestation du notaire ou acte de notoriĂ©tĂ© prouvant votre statut d’hĂ©ritier et votre capacitĂ© Ă  rĂ©silier le contrat
          • Copie de l’acte de dĂ©cès (si votre demande de rĂ©siliation est faite en mĂŞme temps que l’annonce du dĂ©cès)

          Du fait du décès, la demande peut avoir lieu sans avoir à respecter un délai. Ainsi, elle peut avoir lieu sans attendre la date anniversaire de prise d’effet du contrat ou le délai d’un an imposé au contrat multirisque habitation.

          La résiliation du contrat d’assurance habitation prendra effet 1 mois après la réception de la lettre de résiliation par l'assureur.

          Seules les primes relatives à la période qui suit la date d'effet de la résiliation seront remboursées.

           Ă€ noter

          Tant que le règlement de la succession, et le partage des biens n’ont pas eu lieu, il est préférable que le bien soit assuré pour le protéger contre les risques éventuels (vol, incendie, dégât des eaux, etc.). De ce fait, si vous résiliez ce contrat, il est recommandé d’en souscrire un autre.

        • Pour le transfert du contrat d’assurance habitation, vous devrez joindre à votre demande les documents suivants :

          • Attestation du notaire ou acte de notoriĂ©tĂ© prouvant votre statut d’hĂ©ritier et votre capacitĂ© Ă  transfĂ©rer le contrat
          • Copie de l’acte de dĂ©cès (si votre demande de transfert est faite en mĂŞme temps que l’annonce du dĂ©cès)
          • Copie de la pièce d’identitĂ© de la personne au nom duquel le contrat est transfĂ©rĂ©
          • RIB de la personne au nom duquel le contrat est transfĂ©rĂ©, si vous souhaitez rĂ©gler le paiement des cotisations futures par prĂ©lèvement

          L'assureur dispose alors de 3 mois pour accepter ce transfert ou résilier le contrat.

          Si le transfert a été accepté par l’assureur, le paiement des prochaines cotisations seront à la charge du nouveau titulaire du contrat.

      • Vous devrez aussi informer les diffĂ©rents fournisseurs des services (eau, gaz, Ă©lectricitĂ©, tĂ©lĂ©phone, internet, etc.) auxquels a eu recours la personne dĂ©cĂ©dĂ©e et avec qui des contrats de prestations sont en cours.

        Votre courrier doit :

        • Rappeler le numĂ©ro de contrat
        • ĂŠtre accompagnĂ© d'une copie de l’acte de dĂ©cès.

        Selon les services, vous pourrez demander la résiliation du contrat ou la modification du titulaire du contrat.

        Pour résilier le contrat d'abonnement téléphone ou internet qu'avait souscrit la personne décédée, vous pouvez utiliser le modèle de lettre suivant :

        Modèle de document
        Résilier un abonnement téléphonique ou internet de la personne décédée

        Permet de résilier l'abonnement téléphone ou internet de la personne décédée.

        AccĂ©der au modèle de document  

        Direction de l'information légale et administrative (Dila) - Première ministre

La personne décédée était propriétaire de sa résidence principale

Les héritiers doivent obligatoirement faire appel à un notaire si la personne décédée était propriétaire d'un bien immobilier.

 Attention :

En présence d'enfants communs du couple, l'époux(se) de la personne décédée peut opter pour recevoir en usufruit les biens qui n'auraient pas fait l'objet d'une donation ou d'un leg.

  • Vous devez informer les personnes suivantes que votre proche est dĂ©cĂ©dé :

    • Syndic
    • PrĂ©sident(e) du conseil syndical
    • Gardien(ne) de l’immeuble, lorsque l’immeuble en est dotĂ©(e)

    Vous pouvez trouver les coordonnées du syndic sur un appel de charge ou le dernier procès-verbal d’assemblée générale. Si vous n’avez pas accès à ces papiers, un habitant de l’immeuble ou le/la gardien(ne) pourra vous aider.

    L’envoi des convocations et le recouvrement des charges de copropriété sont soumis aux règles de la dévolution successorale.

    Par exemple : si la personne décédée a désigné celle qui doit devenir propriétaire du bien à son décès (légataire à titre particulier), elle devra payer les charges. En cas de mise en place d’une indivision, les charges sont réparties entre les indivisaires à proportion des droits de chacun dans l'indivision.

    À noter : si vous renoncez à la succession, vous n’êtes plus tenu au paiement des charges.

    Mais, l'époux(se) et parfois le/la partenaire lié(e) à la personne décédée bénéficient de droits sur le logement. Une fois les droits de chacun déterminés, il faut gérer les différents contrats attachés au logement.

      • L'Ă©poux(se) peut souhaiter rester dans le logement qu'il occupait, Ă  titre de rĂ©sidence principale, avec la personne dĂ©cĂ©dĂ©e.

        À cet effet, l'époux(se) dispose d’un droit temporaire d’occupation du logement après le décès.

        Pour bénéficier de ce droit, il/elle doit avoir occupé le logement au moment du décès.

        Ce droit d’occupation s’impose aux héritiers de la personne décédée, même si ce bien lui appartenait totalement (on parle de « bien propre » ou de bien personnel dans le régime de séparation de biens).

        L'époux(se) peut donc occuper gratuitement le logement garni de tous ces meubles pendant une année à compter du décès.

         Ă€ noter

        Ce droit est aussi ouvert au partenaire lié(e) à la personne décédée par un Pacs. Toutefois, la personne décédée a pu prévoir de lui supprimer ce droit, dans ses dispositions de dernières volontiers (testament), faculté qui n’est pas possible en cas de mariage.

        Tant que le partage n'a pas eu lieu, le syndic enverra la convocation d'assemblée générale et les appels de charge au notaire en charge de la succession.

      • L'Ă©poux(se) de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e peut aussi bĂ©nĂ©ficier, dans certaines conditions, d’un droit viager sur le logement, c’est-Ă -dire qu’il/elle peut vivre dans le logement, garni de ses meubles, tout le reste de sa vie.

        L'époux(se), comme les autres héritiers, peuvent faire un inventaire pour répertorier les meubles qui garnissent le logement et pour faire décrire l'état de celui-ci au moment du décès.

          Ă€ savoir

        Lorsque le logement n'est plus adapté aux besoins de l'époux(se), il peut le mettre en location et bénéficier des loyers pour lui permettre de subvenir aux frais liés à son nouvel hébergement (par exemple : en Ehpad).

        Le droit viager ne peut pas être mis en œuvre si le logement était détenu en indivision (par la personne décédée et un tiers) ou détenu en SCI (société civile immobilière).

        En revanche, peu importe que le logement soit un bien propre de la personne décédée ou un bien commun aux 2 époux. Le fait d'être marié sous le régime de la séparation de biens n'a pas d'effet : l'époux(se) a un droit viager sur le bien.

        Pour bénéficier de ce droit, l'époux(se) doit :

        • Faire sa demande dans l’annĂ©e qui suit le dĂ©cès (ce dĂ©lai correspond Ă  son droit de pouvoir occuper gratuitement le logement pendant 1 an)
        • Et avoir acceptĂ© la succession du fait de son statut d’hĂ©ritier.

        Il est recommandé de faire cette demande par écrit, pour éviter tout conflit ultérieur avec les héritiers.

         Ă€ noter

        Contrairement au droit temporaire d’occupation, ce droit n’est pas acquis pour l'époux(se). La personne décédée a pu l’en priver expressément dans son testament authentique (rédigé par un notaire).

         Attention :

        Le partenaire lié(e) à la personne décédée par un Pacs ne peut pas bénéficier de ce droit viager.

      • Le dĂ©cès n’a pas pour consĂ©quence de rĂ©silier le contrat d’assurance habitation. Il continue automatiquement au profit des hĂ©ritiers de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e.

        Toutefois, dans un premier temps, vous devez, dans les 15 jours après le décès, prévenir l’assureur auprès duquel la personne décédée avait souscrit un contrat d’assurance habitation. Vous pourrez demander si d’autres contrats (par exemple, assurance automobile) auraient été signés auprès de ce même assureur.

        Il est recommandé d’informer l’assureur par lettre recommandée avec accusé de réception (papier ou numérique). Votre courrier doit rappeler le numéro de contrat d’assurance habitation. Vous devez joindre une copie de l’acte de décès.

        Dans un deuxième temps, vérifiez la date de paiement de la cotisation d’assurance pour vous assurer que le bien est couvert par l’assurance. Tant que le logement n’est pas attribué à un héritier, le prochain paiement de cotisation est à la charge des héritiers ou de l'époux(se) de la personne décédée.

        A noter : Le notaire en charge de la succession peut assurer, sur demande de tous les héritiers, le règlement de la cotisation au moyen des fonds qu’il détient pour le compte la succession à son étude.

        Dans un troisième temps, vous avez la possibilité de :

        • RĂ©silier le contrat d’assurance habitation : l’assureur ne peut pas s’y opposer
        • TransfĂ©rer le contrat d’assurance habitation : par exemple, Ă  l'Ă©poux(se) qui vivait avec la personne dĂ©cĂ©dĂ©e, au nom de l’indivision ou au nom de l’un des hĂ©ritiers après accord de tous.

        À savoir : L'assureur dispose aussi d’un droit de résiliation dans un délai de trois mois à partir du jour où le bénéficiaire définitif du bien a demandé le transfert du contrat d’assurance à son nom.

        • Pour rĂ©silier le contrat d’assurance habitation, vous avez le choix de formuler votre demande par l'un des moyens suivants :

          • Lettre ou tout autre support durable (par exemple, mail avec accusĂ© de rĂ©ception)
          • DĂ©claration faite au siège social ou chez le reprĂ©sentant de l'assureur (par exemple, le courtier)
          • Acte extrajudiciaire en recourant Ă  un commissaire de justice
          • Le mĂŞme mode de communication Ă  distance (tĂ©lĂ©phone, mail, plateforme…) proposĂ© par l'assureur pour la conclusion de contrat
          • Tout autre moyen prĂ©vu par le contrat (par exemple : lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception)

          Vous devrez joindre à votre demande les documents suivants :

          • Attestation du notaire ou acte de notoriĂ©tĂ© prouvant votre statut d’hĂ©ritier et votre capacitĂ© Ă  rĂ©silier le contrat
          • Copie de l’acte de dĂ©cès (si votre demande de rĂ©siliation est faite en mĂŞme temps que l’annonce du dĂ©cès)

          Du fait du décès, la demande peut avoir lieu sans avoir à respecter un délai. Ainsi, elle peut avoir lieu sans attendre la date anniversaire de prise d’effet du contrat ou le délai d’un an imposé au contrat multirisque habitation.

          La résiliation du contrat d’assurance habitation prendra effet 1 mois après la réception de la lettre de résiliation par l'assureur.

          Seules les primes relatives à la période qui suit la date d'effet de la résiliation seront remboursées.

           Ă€ noter

          Tant que le règlement de la succession, et le partage des biens n’ont pas eu lieu, il est préférable que le bien soit assuré pour le protéger contre les risques éventuels (vol, incendie, dégât des eaux, etc.). De ce fait, si vous résiliez ce contrat, il est recommandé d’en souscrire un autre.

        • Pour le transfert du contrat d’assurance habitation, vous devrez joindre à votre demande les documents suivants :

          • Attestation du notaire ou acte de notoriĂ©tĂ© prouvant votre qualitĂ© d’hĂ©ritier et votre capacitĂ© Ă  transfĂ©rer le contrat
          • Copie de l’acte de dĂ©cès (si votre demande de transfert est faite en mĂŞme temps que l’annonce du dĂ©cès)
          • Copie de la pièce d’identitĂ© de la personne au nom duquel le contrat est transfĂ©rĂ©
          • RIB de la personne au nom duquel le contrat est transfĂ©rĂ©, si vous souhaitez rĂ©gler le paiement des cotisations futures par prĂ©lèvement

          L'assureur dispose alors de 3 mois pour accepter ce transfert ou résilier le contrat.

          Si le transfert a été accepté par l’assureur, le paiement des prochaines cotisations seront à la charge du nouveau titulaire du contrat.

      • Vous devrez aussi informez les diffĂ©rents fournisseurs des services (eau, gaz, Ă©lectricitĂ©, tĂ©lĂ©phone, internet, etc.) auxquels a eu recours la personne dĂ©cĂ©dĂ©e et avec qui des contrats de prestations sont en cours. Selon les services, vous pourrez demander la rĂ©siliation du contrat ou la modification du titulaire du contrat.

        Votre courrier doit :

        • Rappeler le numĂ©ro de contrat
        • ĂŠtre accompagnĂ© d'une copie de l’acte de dĂ©cès.

        Pour résilier le contrat d'abonnement téléphone ou internet qu'avait souscrit la personne décédée, vous pouvez utiliser le modèle de lettre suivant :

        Modèle de document
        Résilier un abonnement téléphonique ou internet de la personne décédée

        Permet de résilier l'abonnement téléphone ou internet de la personne décédée.

        AccĂ©der au modèle de document  

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  • Le sort de la maison individuelle de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e va dĂ©pendre des règles de la dĂ©volution successorale. Toutefois, l'Ă©poux(se), et parfois le/la partenaire liĂ©(e) Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e, bĂ©nĂ©ficie de droits sur le logement.

    Vous devrez aussi gérer les différents contrats associés au logement.

      • L'Ă©poux(se) peut souhaiter rester dans le logement qu'il/elle occupait, Ă  titre de rĂ©sidence principale, avec la personne dĂ©cĂ©dĂ©e.

        A cet effet, il/elle a un droit temporaire d’occupation du logement après le décès.

        Pour bénéficier de ce droit, il/elle doit avoir occupé le logement au moment du décès.

        Ce droit d’occupation s’impose aux héritiers de la personne décédée, même si ce bien lui appartenait totalement (on parle de « bien propre »).

        L'époux(se) peut donc occuper gratuitement le logement garni de tous ces meubles pendant une année à compter du décès.

         Ă€ noter

        Ce droit est aussi ouvert au partenaire lié(e) à la personne décédée par un pacte civil de solidarité. Toutefois, la personne décédée a pu prévoir de lui supprimer ce droit, dans ses dispositions de dernières volontiers (testament), faculté qui n’est pas possible en cas de mariage.

      • L'Ă©poux(se) de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e peut aussi bĂ©nĂ©ficier, dans certaines conditions, d’un droit viager sur le logement, c’est-Ă -dire qu’il peut vivre dans le logement, garni de ses meubles, tout le reste de sa vie.

        Il/elle, comme les autres héritiers, peuvent faire un inventaire pour répertorier les meubles qui garnissent le logement et pour faire décrire l'état de celui-ci au moment du décès.

          Ă€ savoir

        Lorsque le logement n'est plus adapté aux besoins de l'époux(se), il/elle peut le mettre en location et bénéficier des loyers pour lui permettre de subvenir aux frais liés à son nouvel hébergement (par exemple : en Ehpad).

        Le droit viager ne peut être mis en œuvre si le logement était détenu en indivision (par la personne décédée et un tiers) ou détenu en SCI (société civile immobilière).

        En revanche, peu importe que le logement soit un bien propre de la personne décédée ou un bien commun aux deux époux. Le fait d'être marié sous le régime de la séparation de biens n'a pas d'effet : l'époux(se) a un droit viager sur le bien.

        Pour bénéficier de ce droit, l'époux(se) doit :

        • Faire sa demande dans l’annĂ©e qui suit le dĂ©cès (ce dĂ©lai correspond Ă  son droit de pouvoir occuper gratuitement le logement pendant 1 an)
        • Et avoir acceptĂ© la succession du fait de son statut d’hĂ©ritier.

        Il est recommandé de faire cette demande par écrit, pour éviter tout conflit ultérieur avec les héritiers.

         Ă€ noter

        Contrairement au droit temporaire d’occupation, ce droit n’est pas acquis pour l'époux(se). La personne décédée a pu l’en priver expressément dans son testament authentique (rédigé par un notaire).

         Attention :

        Le partenaire lié(e) à la personne décédée par un pacte civil de solidarité ne peut pas bénéficier de ce droit viager.

      • Le dĂ©cès n’a pas pour consĂ©quence de rĂ©silier le contrat d’assurance habitation. Il continue automatiquement au profit des hĂ©ritiers de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e.

        Toutefois, dans un premier temps, vous devez, dans les 15 jours après le décès, prévenir l’assureur auprès duquel la personne décédée avait souscrit un contrat d’assurance habitation. Vous pourrez demander si d’autres contrats (par exemple, assurance automobile) auraient été signés auprès de ce même assureur.

        Il est recommandé d’informer l’assureur par lettre recommandée avec accusé de réception (papier ou numérique). Votre courrier doit rappeler le numéro de contrat d’assurance habitation. Vous devez joindre une copie de l’acte de décès.

        Dans un deuxième temps, vérifiez la date de paiement de la cotisation d’assurance pour vous assurer que le bien est couvert par l’assurance. Tant que le logement n’est pas attribué à un héritier, le prochain paiement de cotisation est à la charge des héritiers ou de l'époux(se) de la personne décédée.

        À noter : Le notaire en charge de la succession peut assurer, sur demande de tous les héritiers, le règlement de la cotisation au moyen des fonds qu’il détient pour le compte la succession à son étude.

        Dans troisième temps, vous avez la possibilité de :

        • RĂ©silier le contrat d’assurance habitation : l’assureur ne peut pas s’y opposer
        • TransfĂ©rer le contrat d’assurance habitation : par exemple, Ă  l'Ă©poux(se) qui vivait avec la personne dĂ©cĂ©dĂ©e, au nom de l’indivision ou au nom de l’un des hĂ©ritiers après accord de tous.

        À savoir : L'assureur dispose aussi d’un droit de résiliation dans un délai de 3 mois à partir du jour où le bénéficiaire définitif du bien a demandé le transfert du contrat d’assurance à son nom.

        • Pour rĂ©silier le contrat d’assurance habitation, vous avez le choix de formuler votre demande par l'un des moyens suivants :

          • Lettre ou tout autre support durable (par exemple, mail avec accusĂ© de rĂ©ception)
          • DĂ©claration faite au siège social ou chez le reprĂ©sentant de l'assureur (par exemple, le courtier)
          • Acte extrajudiciaire en recourant Ă  un commissaire de justice
          • Le mĂŞme mode de communication Ă  distance (tĂ©lĂ©phone, mail, plateforme…) proposĂ© par l'assureur pour la conclusion de contrat
          • Tout autre moyen prĂ©vu par le contrat (par exemple : lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception)

          Vous devrez joindre à votre demande les documents suivants :

          • Attestation du notaire ou acte de notoriĂ©tĂ© prouvant votre statut d’hĂ©ritier et votre capacitĂ© Ă  rĂ©silier le contrat
          • Copie de l’acte de dĂ©cès (si votre demande de rĂ©siliation est faite en mĂŞme temps que l’annonce du dĂ©cès)

          Du fait du décès, la demande peut avoir lieu sans avoir à respecter un délai. Ainsi, elle peut avoir lieu sans attendre la date anniversaire de prise d’effet du contrat ou le délai d’un an imposé au contrat multirisque habitation.

          La résiliation du contrat d’assurance habitation prendra effet 1 mois après la réception de la lettre de résiliation par l'assureur.

          Seules les primes relatives à la période qui suit la date d'effet de la résiliation seront remboursées.

           Ă€ noter

          Tant que le règlement de la succession, et le partage des biens n’ont pas eu lieu, il est préférable que le bien soit assuré pour le protéger contre les risques éventuels (vol, incendie, dégât des eaux, etc.). De ce fait, si vous résiliez ce contrat, il est recommandé d’en souscrire un autre.

        • Pour le transfert du contrat d’assurance habitation, vous devrez joindre à votre demande les documents suivants :

          • Attestation du notaire ou acte de notoriĂ©tĂ© prouvant votre statut d’hĂ©ritier et votre capacitĂ© Ă  transfĂ©rer le contrat
          • Copie de l’acte de dĂ©cès (si votre demande de transfert est faite en mĂŞme temps que l’annonce du dĂ©cès)
          • Copie de la pièce d’identitĂ© de la personne au nom duquel le contrat est transfĂ©rĂ©
          • RIB de la personne au nom duquel le contrat est transfĂ©rĂ©, si vous souhaitez rĂ©gler le paiement des cotisations futures par prĂ©lèvement

          L'assureur dispose alors de 3 mois pour accepter ce transfert ou résilier le contrat.

          Si le transfert a été accepté par l’assureur, le paiement des prochaines cotisations seront à la charge du nouveau titulaire du contrat.

      • Vous devrez aussi informez les diffĂ©rents fournisseurs des services (eau, gaz, Ă©lectricitĂ©, tĂ©lĂ©phone, internet, etc.) auxquels a eu recours la personne dĂ©cĂ©dĂ©e et avec qui des contrats de prestations sont en cours. Selon les services, vous pourrez demander la rĂ©siliation du contrat ou la modification du titulaire du contrat.

        Votre courrier doit :

        • Rappeler le numĂ©ro de contrat
        • ĂŠtre accompagnĂ© d'une copie de l’acte de dĂ©cès.

        Pour résilier le contrat d'abonnement téléphone ou internet qu'avait souscrit la personne décédée, vous pouvez utiliser le modèle de lettre suivant :

        Modèle de document
        Résilier un abonnement téléphonique ou internet de la personne décédée

        Permet de résilier l'abonnement téléphone ou internet de la personne décédée.

        AccĂ©der au modèle de document  

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La personne décédée résidait dans un Ehpad

Si la personne est décédée à l'hôpital, vous devez prévenir au plus vite la direction de l'Ehpad dans lequel il/elle séjournait avant son hospitalisation. Vous devrez lui remettre une copie de l'acte de décès.

Relisez le contrat de séjour (ou le document individuel de prise en charge) qui a été signé avec l'Ehpad : il prévoit les conditions et les modalités de sa résiliation en cas de décès.

Tant que les objets personnels de la personne décédée ne sont pas retirés de la chambre occupée, le contrat de séjour court toujours.

 Ă€ noter

Si les objets personnels ne peuvent être retirés dans les 6 jours après le décès, l'Ehpad peut facturer l'occupation. Le montant réclamé ne pourra pas dépasser celui correspond au socle de prestations dû pour une durée maximale de 6 jours. Les charges relatives à la restauration sont déduites du montant facturé.

Une fois les effets personnels de la personne décédée retirés, la chambre est libérée. Un état des lieux contradictoire de sortie, en présence des héritiers ou du représentant légal de la personne décédée et le responsable de l'établissement, peut avoir lieu.

À partir de ce moment, seules les prestations d'hébergement délivrées antérieurement au décès, mais non payées, peuvent être facturées par l'établissement. Ces frais constituent une dette qui pèse sur les héritiers et sont déduits du dépôt de garantie (dont le montant correspond à 30 jours de frais d'hébergement).

Le dépôt de garantie et les sommes perçues d'avance correspondant à des prestations non délivrées en raison du décès sont restituées dans les 30 jours suivant le décès.

  Ă€ savoir

Des frais de rénovation à la suite d'éventuelles dégradations excédant les dégradations dues à de la vétusté peuvent être déduits au moment de la restitution du dépôt de garantie. Toutefois, aucune somme ne peut être exigée pour la remise en état dans le cas où un état des lieux n'a pas été réalisé à l'entrée et à la sortie.

Les sommes à restituer sont versées à la comptabilité du notaire chargé de la succession.

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La personne décédée était propriétaire de biens mis en location et/ou de résidences secondaires.

Biens mis en location longue durée

À la suite du décès, vous devez contacter les locataires qui occupent les biens pour les informer du décès.

Le décès du bailleur ne met pas fin au contrat : il se poursuite dans les mêmes conditions.

Si une assurance propriétaire non occupant avait été souscrite par la personne décédée, vous devez informer l'assureur dans les 15 jours après le décès.

Il est recommandé d’informer l’assureur par lettre recommandée avec accusé de réception (papier ou numérique). Votre courrier doit rappeler le numéro de contrat. Vous devez joindre une copie de l’acte de décès.

Vérifiez la date de paiement de la cotisation d’assurance pour vous assurer que le bien est couvert par l’assurance. Tant que le logement n’est pas attribué à un héritier, le prochain paiement de cotisation est à la charge des héritiers ou de l'époux(se) de la personne décédée.

Vous avez la possibilité de :

  • RĂ©silier le contrat d’assurance habitation : l’assureur ne peut pas s’y opposer
  • TransfĂ©rer le contrat d’assurance habitation.

L'assureur dispose aussi d’un droit de résiliation dans un délai de trois mois à partir du jour où le bénéficiaire définitif du bien a demandé le transfert du contrat d’assurance à son nom.

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RĂ©sidences secondaires

Les résidences secondaires sont soumis aux règles de la dévolution successorale.

Si une résidence secondaire est un logement en copropriété, le syndic doit être informé du décès.

Vous devez aussi gérer les contrats attachés ces logements.

 Ă€ noter

Si la personne décédée louait ses résidences secondaires de manière occasionnelle par l'intermédiaire d'une plateforme ou en direct, il est conseillé de retirer les biens de la location, le temps que le(s) bénéficiaire(s) définitif(s) des biens ai(en)t été identifié(s).

  • Le dĂ©cès n’a pas pour consĂ©quence de rĂ©silier le contrat d’assurance habitation. Il continue automatiquement au profit des hĂ©ritiers de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e.

    Toutefois, dans un premier temps, vous devez, dans les 15 jours après le décès, prévenir l’assureur auprès duquel la personne décédée avait souscrit un contrat d’assurance habitation. Vous pourrez demander si d’autres contrats (par exemple, assurance automobile) auraient été signés auprès de ce même assureur.

    Il est recommandé d’informer l’assureur par lettre recommandée avec accusé de réception (papier ou numérique). Votre courrier doit rappeler le numéro de contrat d’assurance habitation. Vous devez joindre une copie de l’acte de décès.

    Dans un deuxième temps, vérifiez la date de paiement de la cotisation d’assurance pour vous assurer que le bien est couvert par l’assurance. Tant que le logement n’est pas attribué à un héritier, le prochain paiement de cotisation est à la charge des héritiers ou de l'époux(se).

    Dans un troisième temps, vous avez la possibilité de :

    • RĂ©silier le contrat d’assurance habitation : l’assureur ne peut pas s’y opposer
    • TransfĂ©rer le contrat d’assurance habitation.

    L'assureur dispose aussi d’un droit de résiliation dans un délai de 3 mois à partir du jour où le bénéficiaire définitif du bien a demandé le transfert du contrat d’assurance à son nom.

    • Pour rĂ©silier le contrat d’assurance habitation, vous avez le choix de formuler votre demande par l'un des moyens suivants  :

      • Lettre ou tout autre support durable (par exemple, mail avec accusĂ© de rĂ©ception)
      • DĂ©claration faite au siège social ou chez le reprĂ©sentant de l'assureur (par exemple, le courtier)
      • Acte extrajudiciaire en recourant Ă  un commissaire de justice
      • Le mĂŞme mode de communication Ă  distance (tĂ©lĂ©phone, mail, plateforme…) proposĂ© par l'assureur pour la conclusion de contrat
      • Tout autre moyen prĂ©vu par le contrat (par exemple : lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception)

      Vous devrez joindre à votre demande les documents suivants :

      • Attestation du notaire ou acte de notoriĂ©tĂ© prouvant votre statut d’hĂ©ritier et votre capacitĂ© Ă  rĂ©silier le contrat
      • Copie de l’acte de dĂ©cès (si votre demande de rĂ©siliation est faite en mĂŞme temps que l’annonce du dĂ©cès)

      Du fait du décès, la demande peut avoir lieu sans avoir à respecter un délai. Ainsi, elle peut avoir lieu sans attendre la date anniversaire de prise d’effet du contrat ou le délai d’un an imposé au contrat multirisque habitation.

      La résiliation du contrat d’assurance habitation prendra effet 1 mois après la réception de la lettre de résiliation par l'assureur.

      Seules les primes relatives à la période qui suit la date d'effet de la résiliation seront remboursées.

       Ă€ noter

      Tant que le règlement de la succession, et le partage des biens n’ont pas eu lieu, il est préférable que le bien soit assuré pour le protéger contre les risques éventuels (vol, incendie, dégât des eaux, etc.). De ce fait, si vous résiliez ce contrat, il est recommandé d’en souscrire un autre.

    • Pour le transfert du contrat d’assurance habitation, vous devrez joindre à votre demande les documents suivants :

      • Attestation du notaire ou acte de notoriĂ©tĂ© prouvant votre statut d’hĂ©ritier et votre capacitĂ© Ă  transfĂ©rer le contrat
      • Copie de l’acte de dĂ©cès (si votre demande de transfert est faite en mĂŞme temps que l’annonce du dĂ©cès)
      • Copie de la pièce d’identitĂ© de la personne au nom duquel le contrat est transfĂ©rĂ©
      • RIB de la personne au nom duquel le contrat est transfĂ©rĂ©, si vous souhaitez rĂ©gler le paiement des cotisations futures par prĂ©lèvement

      L'assureur dispose alors de 3 mois pour accepter ce transfert ou résilier le contrat.

      Si le transfert a été accepté par l’assureur, le paiement des prochaines cotisations seront à la charge du nouveau titulaire du contrat.

  • Vous devrez aussi informez les diffĂ©rents fournisseurs des services (eau, gaz, Ă©lectricitĂ©, tĂ©lĂ©phone, internet, etc.) auxquels a eu recours la personne dĂ©cĂ©dĂ©e et avec qui des contrats de prestations sont en cours. Selon les services, vous pourrez demander la rĂ©siliation du contrat ou la modification du titulaire du contrat.

    Votre courrier doit :

    • Rappeler le numĂ©ro de contrat
    • Et ĂŞtre accompagnĂ© d'une copie de l’acte de dĂ©cès.

    Pour résilier le contrat d'abonnement téléphone ou internet qu'avait souscrit la personne décédée, vous pouvez utiliser le modèle de lettre suivant :

    Modèle de document
    Résilier un abonnement téléphonique ou internet de la personne décédée

    Permet de résilier l'abonnement téléphone ou internet de la personne décédée.

    AccĂ©der au modèle de document  

    Direction de l'information légale et administrative (Dila) - Première ministre

Si la personne décédée disposait d’un véhicule personnel et/ou professionnel à moteur (voiture, 2 roues), des démarches sont à effectuer. Elles concernent le contrat d’assurance et le certificat d’immatriculation (anciennement carte grise) du véhicule.

Le décès n’a pas pour conséquence de résilier le contrat d’assurance automobile. Il continue automatiquement au profit des héritiers de la personne décédée.

 Attention :

Si vous souhaitez utiliser le véhicule avant qu'il ne soit attribué à un héritier, donnée, vendu ou détruit, vous devez vérifier, dans le contrat d'assurance, si le prêt de volant est autorisé avec ou sans franchise.

Quoiqu'il en soit, dans un premier temps, vous devez, dans les 15 jours après le décès, prévenir l’assureur auprès duquel la personne décédée avait souscrit ce contrat. Vous pourrez demander si d’autres contrats (par exemple, assurance habitation) auraient été signés auprès de ce même assureur.

Il est recommandé d’informer l’assureur par lettre recommandée avec accusé de réception (papier ou numérique).

Votre courrier doit :

  • Rappeler le numĂ©ro de contrat d’assurance automobile
  • ĂŠtre accompagnĂ© d'une copie de l’acte de dĂ©cès.

Dans un deuxième temps, vérifiez la date de paiement de la cotisation d’assurance pour vous assurer que le véhicule est couvert par l’assurance. Tant que le véhicule n’est pas attribué à un héritier, donnée, vendu ou détruit, le prochain paiement de cotisation est à la charge des héritiers ou de l'époux(se) de la personne décédée.

 Ă€ noter

Le notaire en charge de la succession peut assurer, sur demande de tous les héritiers, le règlement de la cotisation au moyen des fonds qu’il détient pour le compte la succession à son étude.

Dans un troisième temps, vous avez la possibilité de :

  • Modifier le contrat d’assurance automobile, si l'Ă©poux(se) de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă©tait aussi cosignataire du contrat
  • RĂ©silier le contrat d’assurance automobile : l’assureur ne peut pas s’y opposer. Sauf si le vĂ©hicule n’est plus en Ă©tat de fonctionner, le vĂ©hicule devra obligatoirement ĂŞtre assurĂ© auprès d’un autre assureur
  • TransfĂ©rer le contrat d’assurance automobile si une personne a Ă©tĂ© dĂ©signĂ©e, avec l’accord de tous les hĂ©ritiers pour ĂŞtre le nouveau propriĂ©taire du vĂ©hicule. Faute d’accord unanime, il est recommandĂ© que la voiture reste assurĂ©e au nom de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e jusqu’au règlement de la succession. Une fois la succession rĂ©glĂ©e, et l’hĂ©ritier dĂ©signĂ©, il doit demander le transfert du contrat Ă  son nom. Le montant de la prime d’assurance sera alors modifiĂ© pour tenir compte des caractĂ©ristiques et des antĂ©cĂ©dents du nouveau conducteur (âge, bonus-malus, etc.).
  • Le vĂ©hicule de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă©tait entièrement payĂ©. Les hĂ©ritiers ont le choix : garder ou cĂ©der (vendre ou donner) le vĂ©hicule. Ils peuvent aussi vouloir mettre Ă  la casse le vĂ©hicule, notamment s'il est en mauvais Ă©tat.

    • Il est important de dĂ©terminer qui sera le nouveau conducteur du vĂ©hicule pour procĂ©der au changement du titulaire du certificat d'immatriculation et lui transfĂ©rer le contrat d'assurance automobile. Il peut s'agir de l'Ă©poux(se), d'un hĂ©ritier ou de plusieurs hĂ©ritiers de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e.

      • Il faut vĂ©rifier sous quel rĂ©gime matrimonial les Ă©poux Ă©taient mariĂ©s et dĂ©terminer si le vĂ©hicule appartenait uniquement Ă  la personne dĂ©cĂ©dĂ©e ou aux deux Ă©poux.

        • Le vĂ©hicule a Ă©tĂ© acquis pendant la durĂ©e du mariage : c’est un bien commun qui est prĂ©sumĂ© appartenir aux 2 Ă©poux, Ă  part Ă©gale quant Ă  sa valeur. De ce fait, les hĂ©ritiers hĂ©ritent de la moitiĂ© de la valeur de la voiture.

          Toutefois, l'époux(se) peut vouloir continuer à utiliser le véhicule pour ses besoins quotidiens. En cas d’absence d’enfant issu d’un premier mariage de la personne décédée, l'époux(se) peut opter pour un droit d’usufruit sur l’ensemble des biens de la succession qui n'auraient pas fait l'objet d'une donation ou d'un leg. Dans ce cas, il/elle peut conserver le véhicule.

          Si ces conditions ne sont pas remplies, l'époux(se) peut demander l’attribution préférentielle du bien aux héritiers. Dans ce cas, une lettre de désistement est signée par tous les héritiers en faveur de l'époux(se).

          Dans tous les cas, l'époux(se) doit demander la modification de la carte grise à son nom et le transfert du contrat d’assurance automobile.

          • La carte grise doit ĂŞtre mise au nom de l'Ă©poux(se).

            La démarche s'effectue en ligne en utilisant le téléservice suivant :

            Service en ligne
            Demander une carte grise d'un véhicule faisant l'objet d'un héritage

            AccĂ©der au service en ligne  

            Agence nationale des titres sécurisés (ANTS)

            Cette démarche nécessite de s'identifier via France Connect.

            L'époux(se) doit se munir d'une copie numérique (photo ou scan) des documents suivants :

            • Formulaire cerfa n°13750
            • Justificatif de domicile de moins de 6 mois
            • Carte grise originale
            • Pièce d'identitĂ© en cours de validitĂ©
            • Livret de famille attestant du dĂ©cès, du rĂ©gime matrimonial et du nombre de cohĂ©ritiers
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            Le format des documents numérisés peut être un des suivants : JPG, PNG, BMP, TIFF, PDF.

             Ă€ noter

            Si une autre personne procède pour le compte de l'époux(se) à cette demande, elle devra joindre les documents suivants :

            L'époux(se) doit certifier sur l'honneur qu'il/elle a une attestation d'assurance du véhicule et un permis de conduire correspondant à la catégorie du véhicule immatriculé.

            Il/elle n'a pas à joindre une copie numérique (photo ou scan) du permis de conduire. Mais la copie pourra lui être demandée lors de l'instruction de son dossier.

              Ă€ savoir

            La preuve d'un contrôle technique en cours de validité est demandée si le véhicule le nécessite. Elle peut être apportée par la vignette de contrôle technique apposée sur la carte grise.

            Le règlement du montant de la carte grise doit obligatoirement être effectué par carte bancaire.

            À la fin de la procédure, l'héritier obtient les 3 éléments suivants :

            • NumĂ©ro de dossier
            • AccusĂ© d'enregistrement de sa demande
            • Certificat provisoire d'immatriculation (CPI), qu'il doit imprimer. Le CPI permet de circuler pendant 1 mois, uniquement en France, en attendant de recevoir la carte grise.

            La carte grise est envoyée sous pli sécurisé, en général dans les 7 jours ouvrés.

            Toutefois, le délai peut être plus long si la demande est incomplète ou doit être analysée par le service instructeur (la fabrication de la carte grise ne pourra être lancée qu'à l'issue de cette étape). Le délai peut être également plus long en fonction du nombre de demandes en cours de traitement.

            Le suivi de l'état d'avancement du dossier est possible sur le site de l'ANTS :

            Service en ligne
            Suivez votre demande de carte grise

            AccĂ©der au service en ligne  

            Agence nationale des titres sécurisés (ANTS)

            En cas d'absence lors du passage du facteur, un avis de passage sera déposé. Le nouveau titulaire a 15 jours pour récupérer le document à La Poste (ou donner procuration à un tiers pour le faire à sa place). Passé ce délai, le titre est retourné à l'expéditeur. Il faudra alors contacter l'ANTS pour qu'il soit renvoyé.

             Attention :

            L'ancienne carte grise doit être conservée pendant 5 ans. Passé ce délai, elle doit être détruite.

          • Si l'Ă©poux(se) de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă©tait aussi cosignataire du contrat, il/elle pourra demander la modification du contrat.

            Dans le cas contraire, il/elle demande le transfert du contrat d’assurance automobile. Il/elle devra joindre à sa demande les documents suivants :

            • Attestation du notaire ou acte de notoriĂ©tĂ© prouvant son statut d’hĂ©ritier et sa capacitĂ© Ă  transfĂ©rer le contrat
            • Si besoin, attestation signĂ©e de tous les hĂ©ritiers certifiant qu'ils renoncent au vĂ©hicule Ă  son profit ou certificat du notaire constatant leur accord pour lui attribuer
            • Copie de l’acte de dĂ©cès (si la demande de transfert est faite en mĂŞme temps que l’annonce du dĂ©cès)
            • Copie de sa pièce d’identitĂ©
            • RIB, si le conjoint souhaite rĂ©gler le paiement des cotisations futures par prĂ©lèvement

             Ă€ noter

            L'assureur a alors de 3 mois pour accepter ce transfert ou résilier le contrat.

            Le montant de la prime d’assurance sera modifié pour tenir compte des caractéristiques et des antécédents de l'époux(se)(âge, bonus-malus, etc.).

        • Le vĂ©hicule achetĂ© au cours du mariage est un bien propre de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. De ce fait, la carte grise est Ă  son nom exclusif. Le bien entre dans la succession au profit des hĂ©ritiers.

          Toutefois, l'époux(se) peut vouloir conserver et utiliser le véhicule pour ses besoins quotidiens. Dans ce cas, il/elle peut demander l’attribution préférentielle du bien aux héritiers. Dans ce cas, une lettre de désistement est signée par tous les héritiers en sa faveur. En cas d'accord des cohéritiers, l'époux(se) peut demander la modification de la carte grise à son nom et le transfert du contrat d’assurance automobile.

          • En cas d'accord de tous les hĂ©ritiers, la carte grise doit ĂŞtre mise au nom de l'Ă©poux(se).

            La démarche s'effectue en ligne en utilisant le téléservice suivant :

            Service en ligne
            Demander une carte grise d'un véhicule faisant l'objet d'un héritage

            AccĂ©der au service en ligne  

            Agence nationale des titres sécurisés (ANTS)

            Cette démarche nécessite de s'identifier via France Connect.

            L'époux(se) doit se munir d'une copie numérique (photo ou scan) des documents suivants :

            • Formulaire cerfa n°13750
            • Justificatif de domicile de moins de 6 mois
            • Carte grise originale
            • Pièce d'identitĂ© en cours de validitĂ©
            • Pièce justifiant du statut d'hĂ©ritier :
            • Lettre de dĂ©sistement de tous les autres hĂ©ritiers en faveur de l'Ă©poux(se) ou un certificat d'attribution du notaire

            Le format des documents numérisés peut être un des suivants : JPG, PNG, BMP, TIFF, PDF.

             Ă€ noter

            Si une autre personne procède pour le compte de l'époux(se) à cette demande, elle devra joindre les documents suivants :

            L'époux(se) doit certifier sur l'honneur qu'il/elle a une attestation d'assurance du véhicule et un permis de conduire correspondant à la catégorie du véhicule immatriculé.

            Il/elle n'a pas à joindre une copie numérique (photo ou scan) du permis de conduire. Mais la copie pourra lui être demandée lors de l'instruction de son dossier.

              Ă€ savoir

            La preuve d'un contrôle technique en cours de validité est demandée si le véhicule le nécessite. Elle peut être apportée par la vignette de contrôle technique apposée sur la carte grise.

            Le règlement du montant de la carte grise doit obligatoirement être effectué par carte bancaire.

            À la fin de la procédure, l'héritier obtient les 3 éléments suivants :

            • NumĂ©ro de dossier
            • AccusĂ© d'enregistrement de sa demande
            • Certificat provisoire d'immatriculation (CPI), qu'il doit imprimer. Le CPI permet de circuler pendant 1 mois, uniquement en France, en attendant de recevoir la carte grise.

            La carte grise est envoyée sous pli sécurisé, en général dans les 7 jours ouvrés.

            Toutefois, le délai peut être plus long si la demande est incomplète ou doit être analysée par le service instructeur (la fabrication de la carte grise ne pourra être lancée qu'à l'issue de cette étape). Le délai peut être également plus long en fonction du nombre de demandes en cours de traitement.

            Le suivi de l'état d'avancement du dossier s'opère sur le site de l'ANTS :

            Service en ligne
            Suivez votre demande de carte grise

            AccĂ©der au service en ligne  

            Agence nationale des titres sécurisés (ANTS)

            En cas d'absence lors du passage du facteur, un avis de passage sera déposé. Le nouveau titulaire a 15 jours pour récupérer le document à La Poste (ou donner procuration à un tiers pour le faire à sa place). Passé ce délai, le titre est retourné à l'expéditeur. Il faudra alors contacter l'ANTS pour qu'il soit renvoyé.

             Attention :

            L'ancienne carte grise doit être conservée pendant 5 ans. Passé ce délai, elle doit être détruite.

          • L'Ă©poux(se) demande le transfert du contrat d’assurance automobile. Il/elle devra joindre à sa demande les documents suivants :

            • Attestation du notaire ou acte de notoriĂ©tĂ© prouvant son statut d’hĂ©ritier et sa capacitĂ© Ă  transfĂ©rer le contrat
            • Attestation signĂ©e de tous les hĂ©ritiers certifiant qu'ils renoncent au vĂ©hicule Ă  son profit ou certificat du notaire constatant leur accord pour lui attribuer
            • Copie de l’acte de dĂ©cès (si la demande de transfert est faite en mĂŞme temps que l’annonce du dĂ©cès)
            • Copie de sa pièce d’identitĂ©
            • RIB, si le conjoint souhaite rĂ©gler le paiement des cotisations futures par prĂ©lèvement

             Ă€ noter

            L'assureur a alors de 3 mois pour accepter ce transfert ou résilier le contrat.

            Le montant de la prime d’assurance sera modifié pour tenir compte des caractéristiques et des antécédents de l'époux(se)(âge, bonus-malus, etc.).

        • L'unique hĂ©ritier doit demander le transfert du contrat d'assurance automobile, puis mettre Ă  son nom le certificat d'immatriculation (anciennement carte grise).

          À noter : l'héritier a aussi la possibilité de changer d'assureur.

          • Pour le transfert du contrat d’assurance automobile, il faut joindre à la demande les documents suivants :

            • Attestation du notaire ou acte de notoriĂ©tĂ© prouvant le statut d’hĂ©ritier et la capacitĂ© Ă  transfĂ©rer le contrat
            • Copie de l’acte de dĂ©cès (si la demande de transfert est faite en mĂŞme temps que l’annonce du dĂ©cès)
            • Copie de la pièce d’identitĂ© de la personne au nom duquel le contrat est transfĂ©rĂ©
            • RIB de la personne au nom duquel le contrat est transfĂ©rĂ©, si l'on souhaite rĂ©gler le paiement des cotisations futures par prĂ©lèvement

             Ă€ noter

            L'assureur a alors de 3 mois pour accepter ce transfert ou résilier le contrat.

            Le montant de la prime d’assurance sera modifié pour tenir compte des caractéristiques et des antécédents du nouveau conducteur (âge, bonus-malus, etc.).

          • La personne doit effectuer la dĂ©marche en ligne en utilisant le tĂ©lĂ©service :

            Service en ligne
            Demander une carte grise d'un véhicule faisant l'objet d'un héritage

            AccĂ©der au service en ligne  

            Agence nationale des titres sécurisés (ANTS)

            Cette démarche nécessite de s'identifier via France Connect.

            Elle doit se munir d'une copie numérique (photo ou scan) des documents suivants :

            Le format des documents numérisés peut être un des suivants : JPG, PNG, BMP, TIFF, PDF.

             Ă€ noter

            Si une autre personne procède pour le compte de l'héritier à cette demande, elle devra joindre les documents suivants :

            L'unique héritier doit certifier sur l'honneur qu'il a une attestation d'assurance du véhicule et un permis de conduire correspondant à la catégorie du véhicule immatriculé.

            Il n'a pas à joindre une copie numérique (photo ou scan) du permis de conduire. Mais la copie pourra lui être demandée lors de l'instruction de son dossier.

              Ă€ savoir

            La preuve d'un contrôle technique en cours de validité est demandée si le véhicule le nécessite. Elle peut être apportée par la vignette de contrôle technique apposée sur la carte grise.

            Le règlement du montant de la carte grise doit obligatoirement être effectué par carte bancaire.

            À la fin de la procédure, l'héritier obtient les 3 éléments suivants :

            • NumĂ©ro de dossier
            • AccusĂ© d'enregistrement de sa demande
            • Certificat provisoire d'immatriculation (CPI), qu'il doit imprimer. Le CPI permet de circuler pendant 1 mois, uniquement en France, en attendant de recevoir la carte grise.

            La carte grise est envoyée sous pli sécurisé, en général dans les 7 jours ouvrés.

            Toutefois, le délai peut être plus long si la demande est incomplète ou doit être analysée par le service instructeur (la fabrication de la carte grise ne pourra être lancée qu'à l'issue de cette étape). Le délai peut être également plus long en fonction du nombre de demandes en cours de traitement.

            Le suivi de l'état d'avancement du dossier est possible sur le site de l'ANTS :

            Service en ligne
            Suivez votre demande de carte grise

            AccĂ©der au service en ligne  

            Agence nationale des titres sécurisés (ANTS)

            En cas d'absence lors du passage du facteur, un avis de passage sera déposé. Le nouveau titulaire a 15 jours pour récupérer le document à La Poste (ou donner procuration à un tiers pour le faire à sa place). Passé ce délai, le titre est retourné à l'expéditeur. Il faudra alors contacter l'ANTS pour qu'il soit renvoyé.

             Attention :

            L'ancienne carte grise doit être conservée pendant 5 ans. Passé ce délai, elle doit être détruite.

        • MĂŞme avant le partage des biens contenus dans la succession, les hĂ©ritiers peuvent se mettre d'accord entre eux pour dĂ©cider de l'attribution du vĂ©hicule de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  l'un d'entre eux.

          Une fois l'accord obtenu de tous les héritiers, le nouveau bénéficiaire du véhicule doit demander le transfert du contrat d'assurance automobile, puis mettre à son nom le certificat d'immatriculation (anciennement carte grise).

          À noter : l'héritier a aussi la possibilité de changer d'assureur.

          • Pour le transfert du contrat d’assurance automobile, vous devrez joindre à votre demande les documents suivants :

            • Attestation du notaire ou acte de notoriĂ©tĂ© prouvant le statut d’hĂ©ritier et la capacitĂ© Ă  transfĂ©rer le contrat
            • Attestation signĂ©e de tous les hĂ©ritiers certifiant qu'ils renoncent au vĂ©hicule Ă  son profit ou certificat du notaire constatant leur accord pour lui attribuer
            • Copie de l’acte de dĂ©cès (si la demande de transfert est faite en mĂŞme temps que l’annonce du dĂ©cès)
            • Copie de la pièce d’identitĂ© de la personne au nom duquel le contrat est transfĂ©rĂ©
            • RIB de la personne au nom duquel le contrat est transfĂ©rĂ©, si l'on souhaite rĂ©gler le paiement des cotisations futures par prĂ©lèvement

             Ă€ noter

            L'assureur a alors de 3 mois pour accepter ce transfert ou résilier le contrat.

            Le montant de la prime d’assurance sera modifié pour tenir compte des caractéristiques et des antécédents du nouveau conducteur (âge, bonus-malus, etc.).

          • La personne doit effectuer la dĂ©marche en ligne en utilisant le tĂ©lĂ©service :

            Service en ligne
            Demander une carte grise d'un véhicule faisant l'objet d'un héritage

            AccĂ©der au service en ligne  

            Agence nationale des titres sécurisés (ANTS)

            Cette démarche nécessite de s'identifier via France Connect.

            L'héritier doit se munir d'une copie numérique (photo ou scan) des documents suivants :

            Le format des documents numérisés peut être un des suivants : JPG, PNG, BMP, TIFF, PDF.

             Ă€ noter

            Si une autre personne procède pour le compte de l'héritier à cette demande, elle devra joindre les documents suivants :

            L'unique héritier doit certifier sur l'honneur qu'il a une attestation d'assurance du véhicule et un permis de conduire correspondant à la catégorie du véhicule immatriculé.

            Il n'a pas à joindre une copie numérique (photo ou scan) du permis de conduire. Mais la copie pourra lui être demandée lors de l'instruction de son dossier.

              Ă€ savoir

            La preuve d'un contrôle technique en cours de validité est demandée si le véhicule le nécessite. Elle peut être apportée par la vignette de contrôle technique apposée sur la carte grise.

            Le règlement du montant de la carte grise doit obligatoirement être effectué par carte bancaire.

            À la fin de la procédure, l'héritier obtient les 3 éléments suivants :

            • NumĂ©ro de dossier
            • AccusĂ© d'enregistrement de sa demande
            • Certificat provisoire d'immatriculation (CPI), qu'il doit imprimer. Le CPI permet de circuler pendant 1 mois, uniquement en France, en attendant de recevoir la carte grise.

            La carte grise est envoyée sous pli sécurisé, en général dans les 7 jours ouvrés.

            Toutefois, le délai peut être plus long si la demande est incomplète ou doit être analysée par le service instructeur (la fabrication de la carte grise ne pourra être lancée qu'à l'issue de cette étape). Le délai peut être également plus long en fonction du nombre de demandes en cours de traitement.

            Le suivi de l'état d'avancement du dossier est possible sur le site de l'ANTS :

            Service en ligne
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            AccĂ©der au service en ligne  

            Agence nationale des titres sécurisés (ANTS)

            En cas d'absence lors du passage du facteur, un avis de passage sera déposé. Le nouveau titulaire a 15 jours pour récupérer le document à La Poste (ou donner procuration à un tiers pour le faire à sa place). Passé ce délai, le titre est retourné à l'expéditeur. Il faudra alors contacter l'ANTS pour qu'il soit renvoyé.

             Attention :

            L'ancienne carte grise doit être conservée pendant 5 ans. Passé ce délai, elle doit être détruite.

      • Si plusieurs hĂ©ritiers veulent utiliser le vĂ©hicule, cela a une incidence sur le contrat d'assurance automobile et le certificat d'immatriculation (anciennement carte grise).

        • Les nouveaux titulaires du vĂ©hicule devront demander le transfert du contrat Ă  leurs noms.

          Pour le transfert du contrat d’assurance automobile, ils devront joindre à leur demande les documents suivants :

          • Attestation du notaire ou acte de notoriĂ©tĂ© prouvant leur statut d’hĂ©ritier et leur capacitĂ© Ă  transfĂ©rer le contrat
          • Copie de l’acte de dĂ©cès
          • Copie de la pièce d’identitĂ© des personnes au nom desquels le contrat est transfĂ©rĂ©
          • RIB de la personne qui se chargera de rĂ©gler le paiement des cotisations futures par prĂ©lèvement

          L'assureur dispose alors de 3 mois pour accepter ce transfert ou résilier le contrat.

          Le montant de la prime d’assurance sera alors modifié pour tenir compte des caractéristiques et des antécédents des nouveaux conducteurs (âge, bonus-malus, etc.).

           Ă€ noter

          Si les héritiers sont tous d'accord, ils ont aussi la possibilité de changer d'assureur.

        • Il peut y avoir plusieurs cotitulaires sur une carte grise. Seuls les noms des 2 premiers apparaĂ®tront sur la carte grise.

          La démarche s'effectue en ligne en utilisant le téléservice :

          Service en ligne
          Demander une carte grise d'un véhicule faisant l'objet d'un héritage

          AccĂ©der au service en ligne  

          Agence nationale des titres sécurisés (ANTS)

          Cette démarche nécessite de s'identifier via France Connect.

          Les nouveaux titulaires du véhicule doivent se munir d'une copie numérique (photo ou scan) des documents suivants :

          Le format des documents numérisés peut être un des suivants : JPG, PNG, BMP, TIFF, PDF.

           Ă€ noter

          Si une autre personne procède pour le compte des héritiers à cette demande, elle devra joindre les documents suivants :

          Les nouveaux titulaires du véhicule doivent certifier sur l'honneur qu'ils ont une attestation d'assurance du véhicule et un permis de conduire correspondant à la catégorie du véhicule immatriculé.

          Il n'a pas à joindre une copie numérique (photo ou scan) du permis de conduire. Mais la copie pourra leur être demandée lors de l'instruction de son dossier.

            Ă€ savoir

          La preuve d'un contrôle technique en cours de validité est demandée si le véhicule le nécessite. Elle peut être apportée par la vignette de contrôle technique apposée sur la carte grise.

          Le règlement du montant de la carte grise doit obligatoirement être effectué par carte bancaire.

          À la fin de la procédure, les titulaires du véhicule obtiennent les 3 éléments suivants :

          • NumĂ©ro de dossier
          • AccusĂ© d'enregistrement de sa demande
          • Certificat provisoire d'immatriculation (CPI), Ă  imprimer. Le CPI permet de circuler pendant 1 mois, uniquement en France, en attendant de recevoir la carte grise.

          La carte grise est envoyée sous pli sécurisé, en général dans les 7 jours ouvrés.

          Toutefois, le délai peut être plus long si la demande est incomplète ou doit être analysée par le service instructeur (la fabrication de la carte grise ne pourra être lancée qu'à l'issue de cette étape). Le délai peut être également plus long en fonction du nombre de demandes en cours de traitement.

          Le suivi de l'état d'avancement du dossier est possible sur le site de l'ANTS :

          Service en ligne
          Suivez votre demande de carte grise

          AccĂ©der au service en ligne  

          Agence nationale des titres sécurisés (ANTS)

          En cas d'absence lors du passage du facteur, un avis de passage sera déposé. Les nouveaux titulaires ont 15 jours pour récupérer le document à La Poste (ou donner procuration à un tiers pour le faire à sa place). Passé ce délai, le titre est retourné à l'expéditeur. Il faudra alors contacter l'ANTS pour qu'il soit renvoyé.

           Attention :

          L'ancienne carte grise doit être conservée pendant 5 ans. Passé ce délai, elle doit être détruite.

    • Les dĂ©marches seront diffĂ©rentes selon que la vente ou le don intervient dans les 3 mois du dĂ©cès ou après. Le fait que le vĂ©hicule n'ait pas roulĂ© a une incidence.

      • Il faut procĂ©der au changement de titulaire du certificat d'immatriculation puis rĂ©silier le contrat d'assurance automobile.

        • La carte grise n'a pas Ă  ĂŞtre modifiĂ©e avant de vendre ou donner le vĂ©hicule.

          Étape n°1 : recueillir plusieurs informations auprès du futur propriétaire

          Le futur propriétaire du véhicule doit transmettre les informations suivantes :

          • Nom de naissance
          • PrĂ©nom
          • Sexe
          • Date de naissance
          • Pays et ville de naissance

          Étape n°2 : débuter la démarche en ligne

          1) La démarche se fait en utilisant le téléservice accessible sur le site de l'Agence nationale des titres sécurisés (ANTS).

          Cette démarche nécessite de s'identifier via France Connect.

          En l'absence d'identification via France Connect  : si le véhicule a une immatriculation de type AB 123 CD, il faut indiquer le code confidentiel à 5 chiffres reçu avec la carte grise. En cas de perte du code, il faut utiliser le bouton "Demander un nouveau code". Le code sera mis à disposition quelques heures plus tard dans l'espace personnel ANTS.

           Attention :

          si un tiers fait la démarche, il devra se connecter sur son compte ANTS, ou en créer un à son nom. Il devra cliquer sur le bouton "Pour quelqu'un d'autre". Si le véhicule a une immatriculation de type AB 123 CD, il devra avoir connaissance du code confidentiel à 5 chiffres reçu avec la carte grise.

          2) Il faut renseigner les informations obtenues du futur propriétaire.

          3) Il faut télécharger et imprimer les documents suivants :

          Un code de cession est délivré pour sécuriser et faciliter les démarches administratives du futur propriétaire.

          Étape n°3 : rencontre et transaction avec le futur propriétaire

          Il faut compléter avec le nouveau propriétaire le certificat de cession en précisant le jour et l'heure de la vente. Cette déclaration permet d'être dégagé de toute responsabilité en cas d'infraction ou d'accident qu'il commettrait.

          Il faut remettre au nouveau propriétaire les documents suivants :

          • Exemplaire n°2 signĂ© du formulaire cerfa n°15776 , au nom du ou des hĂ©ritiers avec leurs adresses
          • Certificat de situation administrative (datĂ© de moins de 15 jours)
          • Carte grise du vĂ©hicule, barrĂ©e avec la mention Vendu le (jour/mois/annĂ©e) ou CĂ©dĂ© le (jour/mois/annĂ©e), et signĂ©e par les hĂ©ritiers
          • Document liĂ© Ă  la succession :
          • Preuve du contrĂ´le technique, si le vĂ©hicule a plus de 4 ans et n'est pas dispensĂ© du contrĂ´le technique. Il doit dater de moins de 6 mois ou de moins de 2 mois si une contre-visite a Ă©tĂ© prescrite.
          • Code de cession

            Ă€ savoir

          si la carte grise a été perdue, il faut d'abord la faire refaire, comme on conservait le véhicule, avant de le vendre.

          Étape n°4 : reprise et fin de la démarche en ligne

          Dans les 15 jours qui suivent la remise des documents au nouveau propriétaire, il faut terminer l'enregistrement de la transaction en retournant sur le téléservice utilisé lors de l'étape n°2. Il faut cliquer sur "Mes démarches en cours".

          Il faut rajouter les informations suivantes :

          • Date et l'heure de la cession
          • KilomĂ©trage du vĂ©hicule
          • Adresse complète du nouveau propriĂ©taire

          Il n'y a pas de document Ă  joindre.

          Un récapitulatif de la demande peut être téléchargé et imprimé.

        • Il faut prĂ©venir l'assureur que la vente ou le don du vĂ©hicule a eu lieu pour que le contrat soit rĂ©siliĂ©.

          Le contrat d’assurance est suspendu à partir du lendemain de la date de transmission mentionnée sur la carte grise (c’est-à dire le jour de la vente ou du don), à zéro heure.

          La suspension du contrat prend fin par la résiliation du contrat. Il est possible de demander la résiliation du contrat avec un préavis de 10 jours calendaires.

          Pour résilier le contrat d’assurance, vous avez le choix de formuler votre demande par l'un des moyens suivants :

          Le courrier de résiliation doit mentionner les informations suivantes :

          • RĂ©fĂ©rence de votre contrat d'assurance
          • Modèle du vĂ©hicule
          • NumĂ©ro d'immatriculation
          • Date de la vente ou du don (joindre le certificat de cession)

          Un modèle de lettre est disponible :

          Modèle de document
          Résilier son assurance à la suite de la vente de son véhicule

          Permet de résilier auprès de son assureur son contrat d'assurance en cas de vente de son véhicule.

          AccĂ©der au modèle de document  

          Institut national de la consommation (INC)

          Seules les primes relatives à la période qui suit la date d'effet de la résiliation seront remboursées.

      • Il faut procĂ©der au changement de titulaire du certificat d'immatriculation puis rĂ©silier le contrat d'assurance automobile.

        • La carte grise n'a pas Ă  ĂŞtre modifiĂ©e avant de vendre ou donner le vĂ©hicule.

          Étape n°1 : recueillir plusieurs informations auprès du futur propriétaire

          Le futur propriétaire du véhicule doit transmettre les informations suivantes :

          • Nom de naissance
          • PrĂ©nom
          • Sexe
          • Date de naissance
          • Pays et ville de naissance

          Étape n°2 : débuter la démarche en ligne

          1) La démarche se fait en utilisant le téléservice accessible sur le site de l'Agence nationale des titres sécurisés (ANTS).

          Cette démarche nécessite de s'identifier via France Connect.

          En l'absence d'identification via France Connect  : si le véhicule a une immatriculation de type AB 123 CD, il faut indiquer le code confidentiel à 5 chiffres reçu avec la carte grise. En cas de perte du code, il faut utiliser le bouton "Demander un nouveau code". Le code sera mis à disposition quelques heures plus tard dans l'espace personnel ANTS.

           Attention :

          si un tiers fait la démarche, il devra se connecter sur son compte ANTS, ou en créer un à son nom. Il devra cliquer sur le bouton "Pour quelqu'un d'autre". Si le véhicule a une immatriculation de type AB 123 CD, il devra avoir connaissance du code confidentiel à 5 chiffres reçu avec la carte grise.

          2) Il faut renseigner les informations obtenues du futur propriétaire.

          3) Il faut télécharger et imprimer les documents suivants :

          Un code de cession est délivré pour sécuriser et faciliter les démarches administratives du futur propriétaire.

          Étape n°3 : rencontre et transaction avec le futur propriétaire

          Il faut compléter avec le nouveau propriétaire le certificat de cession en précisant le jour et l'heure de la vente. Cette déclaration permet d'être dégagé de toute responsabilité en cas d'infraction ou d'accident qu'il commettrait.

          Il faut remettre au nouveau propriétaire les documents suivants :

          • Exemplaire n°2 signĂ© du formulaire cerfa n°15776 , au nom du ou des hĂ©ritiers avec leurs adresses
          • Certificat de situation administrative (datĂ© de moins de 15 jours)
          • Carte grise du vĂ©hicule, barrĂ©e avec la mention Vendu le (jour/mois/annĂ©e) ou CĂ©dĂ© le (jour/mois/annĂ©e), et signĂ©e par les hĂ©ritiers
          • Document liĂ© Ă  la succession :
          • Preuve du contrĂ´le technique, si le vĂ©hicule a plus de 4 ans et n'est pas dispensĂ© du contrĂ´le technique. Il doit dater de moins de 6 mois ou de moins de 2 mois si une contre-visite a Ă©tĂ© prescrite.
          • Code de cession

            Ă€ savoir

          si la carte grise a été perdue, il faut d'abord la faire refaire, comme on conservait le véhicule, avant de le vendre.

          Étape n°4 : reprise et fin de la démarche en ligne

          Dans les 15 jours qui suivent la remise des documents au nouveau propriétaire, il faut terminer l'enregistrement de la transaction en retournant sur le téléservice utilisé lors de l'étape n°2. Il faut cliquer sur "Mes démarches en cours".

          Il faut rajouter les informations suivantes :

          • Date et l'heure de la cession
          • KilomĂ©trage du vĂ©hicule
          • Adresse complète du nouveau propriĂ©taire

          Il n'y a pas de document Ă  joindre.

          Un récapitulatif de la demande peut être téléchargé et imprimé.

        • Il faut prĂ©venir l'assureur que la vente ou le don du vĂ©hicule a eu lieu pour que le contrat soit rĂ©siliĂ©.

          Le contrat d’assurance est suspendu à partir du lendemain de la date de transmission mentionnée sur la carte grise (c’est-à dire le jour de la vente ou du don), à zéro heure.

          La suspension du contrat prend fin par la résiliation du contrat. Il est possible de demander la résiliation du contrat avec un préavis de 10 jours calendaires.

          Pour résilier le contrat d’assurance, vous avez le choix de formuler votre demande par l'un des moyens suivants :

          Le courrier de résiliation doit mentionner les informations suivantes :

          • RĂ©fĂ©rence de votre contrat d'assurance
          • Modèle du vĂ©hicule
          • NumĂ©ro d'immatriculation
          • Date de la vente ou du don (joindre le certificat de cession)

          Un modèle de lettre est disponible :

          Modèle de document
          Résilier son assurance à la suite de la vente de son véhicule

          Permet de résilier auprès de son assureur son contrat d'assurance en cas de vente de son véhicule.

          AccĂ©der au modèle de document  

          Institut national de la consommation (INC)

          Seules les primes relatives à la période qui suit la date d'effet de la résiliation seront remboursées.

      • Il faut procĂ©der au changement de titulaire du certificat d'immatriculation puis rĂ©silier le contrat d'assurance automobile.

        • Si la vente intervient plus de 3 mois après le dĂ©cès et que le vĂ©hicule a circulĂ© sur la voie publique depuis le dĂ©cès, il faut :

          • d'abord, demander l'immatriculation au nom d'un ou plusieurs hĂ©ritiers
          • ensuite, une fois le certificat d'immatriculation modifiĂ©, procĂ©der aux Ă©tapes suivantes.

          Étape n°1 : recueillir plusieurs informations auprès du futur propriétaire

          Le futur propriétaire du véhicule doit transmettre les informations suivantes :

          • Nom de naissance
          • PrĂ©nom
          • Sexe
          • Date de naissance
          • Pays et ville de naissance

          Étape n°2 : débuter la démarche en ligne

          1) La démarche se fait en utilisant le téléservice accessible sur le site de l'Agence nationale des titres sécurisés (ANTS).

          Cette démarche nécessite de s'identifier via France Connect.

          En l'absence d'identification via France Connect  : si le véhicule a une immatriculation de type AB 123 CD, il faut indiquer le code confidentiel à 5 chiffres reçu avec la carte grise. En cas de perte du code, il faut utiliser le bouton "Demander un nouveau code". Le code sera mis à disposition quelques heures plus tard dans l'espace personnel ANTS.

           Attention :

          si un tiers fait la démarche, il devra se connecter sur son compte ANTS, ou en créer un à son nom. Il devra cliquer sur le bouton "Pour quelqu'un d'autre". Si le véhicule a une immatriculation de type AB 123 CD, il devra avoir connaissance du code confidentiel à 5 chiffres reçu avec la carte grise.

          2) Il faut renseigner les informations obtenues du futur propriétaire.

          3) Il faut télécharger et imprimer les documents suivants :

          Un code de cession est délivré pour sécuriser et faciliter les démarches administratives du futur propriétaire.

          Étape n°3 : rencontre et transaction avec le futur propriétaire

          Il faut compléter avec le nouveau propriétaire le certificat de cession en précisant le jour et l'heure de la vente.Cette déclaration permet d'être dégagé de toute responsabilité en cas d'infraction ou d'accident qu'il commettrait.

          Il faut remettre au nouveau propriétaire les documents suivants :

          • Exemplaire n°2 signĂ© du formulaire cerfa n°15776 , au nom du ou des hĂ©ritiers avec leurs adresses
          • Certificat de situation administrative (datĂ© de moins de 15 jours)
          • Carte grise du vĂ©hicule, barrĂ©e avec la mention Vendu le (jour/mois/annĂ©e) ou CĂ©dĂ© le (jour/mois/annĂ©e), et signĂ©e par les hĂ©ritiers
          • Document liĂ© Ă  la succession :
          • Preuve du contrĂ´le technique, si le vĂ©hicule a plus de 4 ans et n'est pas dispensĂ© du contrĂ´le technique. Il doit dater de moins de 6 mois ou de moins de 2 mois si une contre-visite a Ă©tĂ© prescrite.
          • Code de cession

            Ă€ savoir

          si la carte grise a été perdue, il faut d'abord la faire refaire, comme on conservait le véhicule, avant de le vendre.

          Étape n°4 : reprise et fin de la démarche en ligne

          Dans les 15 jours qui suivent la remise des documents au nouveau propriétaire, il faut terminer l'enregistrement de la transaction en retournant sur le téléservice utilisé lors de l'étape n°2. Il faut cliquer sur "Mes démarches en cours".

          Il faut rajouter les informations suivantes :

          • Date et l'heure de la cession
          • KilomĂ©trage du vĂ©hicule
          • Adresse complète du nouveau propriĂ©taire

          Il n'y a pas de document Ă  joindre.

          Un récapitulatif de la demande peut être téléchargé et imprimé.

        • Il faut prĂ©venir l'assureur que la vente ou le don du vĂ©hicule a eu lieu pour que le contrat soit rĂ©siliĂ©.

          Le contrat d’assurance est suspendu à partir du lendemain de la date de transmission mentionnée sur la carte grise (c’est-à dire le jour de la vente ou du don), à zéro heure.

          La suspension du contrat prend fin par la résiliation du contrat. Il est possible de demander la résiliation du contrat avec un préavis de 10 jours calendaires.

          Pour résilier le contrat d’assurance, vous avez le choix de formuler votre demande par l'un des moyens suivants :

          Le courrier de résiliation doit mentionner les informations suivantes :

          • RĂ©fĂ©rence de votre contrat d'assurance
          • Modèle du vĂ©hicule
          • NumĂ©ro d'immatriculation
          • Date de la vente ou du don (joindre le certificat de cession)

          Un modèle de lettre est disponible :

          Modèle de document
          Résilier son assurance à la suite de la vente de son véhicule

          Permet de résilier auprès de son assureur son contrat d'assurance en cas de vente de son véhicule.

          AccĂ©der au modèle de document  

          Institut national de la consommation (INC)

          Seules les primes relatives à la période qui suit la date d'effet de la résiliation seront remboursées.

    • Il est possible de mettre Ă  la casse le vĂ©hicule si tous les hĂ©ritiers sont d'accord. Une fois dĂ©truit, il faut demander la rĂ©siliation du contrat d'assurance automobile.

      •   Ă€ savoir

        La carte grise n'a pas à être modifiée en cas de destruction du véhicule.

        Il faut obligatoirement remettre le véhicule à un centre Véhicule hors d'usage (VHU) agréé.

        Où s’adresser ?

        Les pièces suivantes doivent être remises remettre au démolisseur agréé  :

        • Exemplaire n°2 signĂ© du formulaire cerfa n°15776, au nom du ou des hĂ©ritiers, indiquant leurs adresses
        • Certificat de situation administrative de moins de 15 jours
        • Original de la carte grise, complète (y compris le coupon dĂ©tachable s'il existe), barrĂ©e avec la mention cĂ©dĂ© pour destruction le [jour/mois/annĂ©e] et signĂ©e par les hĂ©ritiers
        • Document liĂ© Ă  la succession :

         Attention :

        si la carte grise a été perdue, la déclaration de perte ou de vol de carte grise doit être remise.

        Le centre VHU remet aux héritiers un certificat de destruction.

        La déclaration de cession pour destruction peut être enregistrée par le centre VHU. Dans ce cas, il faut demander une attestation d'enregistrement de la cession.

        La déclaration peut aussi être faite directement via un téléservice :

        Service en ligne
        Déclarer la remise d'un véhicule à un centre véhicule hors d'usage (VHU)

        AccĂ©der au service en ligne  

        Ministère chargé de l'intérieur

        Cette démarche nécessite de s'identifier via France Connect.

        La personne qui effectue la démarche doit disposer d'une copie numérique (photo ou scan) de l'exemplaire n°1 du formulaire cerfa n°15776 rempli, sur lequel sont indiqués les coordonnées du centre VHU et, si possible, son numéro d'agrément.

      • L'assureur doit ĂŞtre informĂ© de la destruction du vĂ©hicule.

        Cette information permet de résilier le contrat.

        Pour résilier le contrat d’assurance, vous avez le choix de formuler votre demande par l'un des moyens suivants :

        • Lettre ou tout autre support durable (par lettre recommandĂ©e ou par envoi recommandĂ© Ă©lectronique)
        • DĂ©claration faite au siège social ou chez le reprĂ©sentant de l'assureur (par exemple, le courtier)
        • Acte extrajudiciaire en sollicitant un commissaire de justice
        • Par le mĂŞme mode de communication Ă  distance (tĂ©lĂ©phone, mail, plate-forme…) proposĂ© par l'assureur pour la conclusion de contrat

        Le courrier de résiliation doit mentionner les informations suivantes :

        • RĂ©fĂ©rence de votre contrat d'assurance
        • Modèle du vĂ©hicule
        • NumĂ©ro d'immatriculation

        Vous devez joindre à ce courrier le certificat de destruction du véhicule.

        Seules les primes relatives à la période qui suit la date d'effet de la résiliation seront remboursées.

  • La personne dĂ©cĂ©dĂ©e avait souscrit un contrat dit de « location avec option d'achat » pour lui permettre de financer l'achat de son vĂ©hicule privĂ©. Jusqu'au paiement total du bien, il Ă©tait locataire du vĂ©hicule.

    Tant que le véhicule n’a pas été totalement payé, il reste la propriété du bailleur, à savoir l'établissement qui lui a prêté les fonds pour lui permettre d'acquérir le bien.

    Le certificat d’immatriculation est aussi au nom du bailleur.

    Vous devez, d’abord, relire le contrat souscrit par la personne décédée pour recueillir les informations suivantes :

    • Nom et coordonnĂ©es du bailleur
    • Nom et coordonnĂ©es du ou des assureurs (contrat d’assurance responsabilitĂ© civile et contrat assurance dĂ©cès peuvent avoir Ă©tĂ© souscrits auprès de deux assureurs diffĂ©rents)
    • Montant du solde du financement Ă  devoir
    • Versement (ou non) d’un dĂ©pĂ´t de garantie par la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. Ce dĂ©pĂ´t doit ĂŞtre, en principe, restituĂ© par le bailleur (sauf si le vĂ©hicule est rendu en mauvais Ă©tat)
    • Souscription (ou non) d’une assurance dĂ©cès par la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. Cette assurance Ă©tant facultative, il est important de vĂ©rifier si la personne dĂ©cĂ©dĂ©e y a souscrit car les consĂ©quences seront diffĂ©rentes pour le(s) hĂ©ritier(s) en ce qui concerne la question du paiement des loyers Ă  devoir

    Vous devez, ensuite, dans les 15 jours après le décès, informer le bailleur et l’assureur du décès de la personne décédée par lettre recommandée avec accusé de réception en joignant une copie de l’acte de décès.

    Attention : si vous souhaitez utiliser le véhicule, vous devez vérifier dans le contrat si le prêt de volant est autorisé avec ou sans franchise.

    • Si la personne dĂ©cĂ©dĂ©e a souscrit une assurance dĂ©cès, c’est l’assureur qui prend en charge le paiement des loyers encore dus au prĂŞteur jusqu’à la fin du contrat de financement, dans la limite de la garantie.

       Attention :

      Certains contrats d’assurance décès garantissent, sous certaines conditions, le montant du capital restant dû en cas de décès consécutif à une maladie ou à un accident.

      De même, le contrat d’assurance décès peut prévoir qu’il prend fin au jour des 85 ans du locataire.

      Le(s) héritiers(s) peuvent décider :

      • d’acheter le vĂ©hicule en rĂ©glant le montant de l’option d’achat prĂ©vu au contrat
      • ou rendre le vĂ©hicule.

      Si l'un des héritiers souhaite se porter acquéreur du véhicule, il devra procéder au changement de certificat d’immatriculation (carte grise) et souscrire une assurance responsabilité civile à son nom.

    • Si la personne dĂ©cĂ©dĂ©e n’a pas souscrit une assurance dĂ©cès, ce sont le(s) hĂ©ritier(s) qui doivent rĂ©gler au prĂŞteur le solde du financement. Ce solde constitue donc une dette Ă  inscrire au passif de la succession.

      Le(s) héritiers(s) peuvent décider :

      • D’acheter le vĂ©hicule en rĂ©glant le montant de l’option d’achat prĂ©vu au contrat
      • Ou rendre le vĂ©hicule.

        Ă€ savoir

      En cas de non-paiement des loyers, le bailleur peut résilier le contrat, exiger la restitution du véhicule et le paiement des loyers impayés ainsi qu'une indemnité de résiliation.

      Si un des héritiers souhaite se porter acquéreur du véhicule, il devra procéder au changement de certificat d’immatriculation (carte grise) et souscrire une assurance responsabilité civile à son nom.

  • Vous devez prendre contact avec l'employeur de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e et convenir avec lui des modalitĂ©s pour que le vĂ©hicule lui soit rendu dans les meilleurs dĂ©lais.

     Attention :

    Vous devez vérifier auprès de l’employeur que le contrat d’assurance souscrit pour ce véhicule vous couvrira en cas d’accident, dans l’éventualité où l’employeur vous demande de le rapporter.

    La gestion du contrat d'assurance, comme la carte grise, est Ă  la charge de l'employeur.

Les héritiers disposent d’un délai de 6 mois (12 mois si le décès a eu lieu à l’étranger) pour :

Les héritiers doivent obligatoirement faire appel à un notaire si :

Dans les autres cas, le recours à un notaire est recommandé.

Il est possible de trouver les coordonnées d'un notaire en consultant l'annuaire des notaires de France :

Où s’adresser ?

Pour ouvrir le dossier de succession, le notaire pourra, selon la situation de la personne décédée, demander de lui transmettre les documents et renseignements suivants.

 Ă€ noter

Cette liste contient les éléments essentiels, à titre indicatif.

    • Acte de dĂ©cès
    • Livret de famille de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e
    • Copie du contrat de mariage ou de Pacs de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e ou du jugement de divorce
    • Livrets de famille des hĂ©ritiers, leurs adresses et leurs professions
    • Copie de la donation entre Ă©poux
    • Testament
    • Copie des donations antĂ©rieures faites par la personne dĂ©cĂ©dĂ©e (date, montant, bĂ©nĂ©ficiaires et dĂ©claration au TrĂ©sor public)
    • Copie des dons antĂ©rieures faits par la personne dĂ©cĂ©dĂ©e (date, montant, bĂ©nĂ©ficiaires et dĂ©claration au TrĂ©sor public)

     Ă€ noter

    Il n'est pas nécessaire de fournir la copie des actes (donation, testament, etc.) qui ont été signés chez le notaire en charge de la succession. Les originaux sont conservés dans ses archives.

    • Titres de propriĂ©tĂ© des biens immobiliers (maisons, appartements, locaux commerciaux, terrains, etc.) dĂ©tenus en France ou Ă  l’étranger. Ces biens peuvent, par exemple, ĂŞtre dĂ©tenus en indivision ou en usufruit
    • Certificat immatriculation des vĂ©hicules de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e (vĂ©hicules terrestres Ă  moteur, bateau, etc.)
    • Liste des biens propres de chacun des Ă©poux (par exemple : maison, bijoux, etc.)
    • Rapports d’expertise des biens mobiliers (par exemple : Ĺ“uvre d’art) ou immobiliers
    • Copie des contrats d’assurance portant sur les Ĺ“uvres d’art, collections ou bijoux, etc.
    • Copie des statuts des sociĂ©tĂ©s dans lesquels des parts ou actions sont dĂ©tenues
    • CrĂ©ances en faveur de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e
    • Contrat d'assurance-vie (ou de capitalisation)
    • Attestation de valeur de cryptomonnaies
    • NumĂ©ros des comptes bancaires et adresse des banques françaises ou Ă©trangères de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e
    • NumĂ©ros des comptes bancaires et adresse des banques françaises ou Ă©trangères des conjoints si les Ă©poux sont mariĂ©s sous un rĂ©gime de communautĂ©
    • RIB de l'Ă©poux(se) de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e et de tous les hĂ©ritiers
    • Copie des prĂŞts en cours (non encore remboursĂ©s) par la personne dĂ©cĂ©dĂ©e (avec tableau d’amortissement)
    • Dernier avis d’imposition
    • Dernière dĂ©claration d'impĂ´t sur la fortune immobilière
    • Derniers avis de taxe foncière
    • Derniers avis de taxe d’habitation concernant les rĂ©sidences secondaires de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e
    • Dernières factures non rĂ©glĂ©es (contrats en cours : gaz, Ă©lectricitĂ©, syndic de copropriĂ©tĂ©, internet, etc.)
    • Copie de la facture des frais funĂ©raires
    • Etc.

Pour en savoir plus


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